Cécile Mainardi au Bal (Paris XVIII)

Née en 1966, Cécile Mainardi a passé plusieurs années àRome (àla Villa Médicis, notamment) et vit désormais àNice. Elle a publié depuis 1992 une dizaine d’ouvrages d’une poésie en rapport étroit avec les arts plastiques et l’image photographique. Présentation et lectures audio sur le site du cipM.
Cécile Mainardi sur remue.net.

Bibliographie
Elle a notamment publié Rose activité mortelle (Flammarion, 2012), L’immaculé conceptuel (Deuxième Blondeur) (les Petits Matins, 2010), Poemz (cipM / Spectres Familiers, 2009), L’eau super-liquide (Ragage, 2008), Je suis une grande actriste (éditions de l’Attente, 2007), La Blondeur (Les Petits Matins, 2006), La Forêt de porphyre (Ulysse Fin de siècle, 1999).

Son projet de résidence comprendra des lectures performatives d’écrivain, en résonance avec les expositions ; une installation numérique, sorte de cut-up visuel réalisé àpartir d’écrits des auteurs exposés ; des interventions dans le BAL PAPER et la Fabrique du regard ; l’animation d’un atelier pour les scolaires. Son projet d’écriture, défini comme baroque ou anti-autofictionnel, aura recours àl’image comme moteur. Elle produira aussi un texte pour la revue en ligne D-Fiction.

La structure d’accueil, le BAL, est un lieu indépendant dédié àla représentation du réel par l’image, sous toutes ses formes : photographie, vidéo, cinéma, nouveaux médias. Projet de l’Association des amis de Magnum présidée par Raymond Depardon, la mission de ce nouvel espace s’inscrit d’emblée dans un spectre large, celui du « document  » visuel.

14 février 2013
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