Dans un texte publié en juillet, Noëlle Mathis écrit : "J’ai soif des mots qui touchent. Des mots qui mettent le doigt dans la pâte, dans la gouache, dans la poudre. J’ai soif de texture. Je sais que les mots vont venir." La 14ème Nuit Remue, juste avant la pause estivale, aura confirmé, par la diversité de ses porteurs de mots, combien cette soif peut être insatiable et, comme chaque mois, on trouvera ci-dessous de multiples sources pour l’étancher.