Marie de Quatrebarbes | 1 | À ce titre 1

Elle avance – on ne ruse pas, et si elle tombe on la confie àdes abeilles → la tête en avant, les cornes, le buste – concours d’élégance (façon de dire : de circonstances)

MAIS ici, tout est gratuité (la subtilité vient du propos)
c’est une fiction qui s’achemine (l’après-midi, les enfants) – fiction àlaquelle on ne peut répondre qu’en cochant la tête ; lorsqu’une idée vague, très vague, vaporeuse vient nous l’arracher (elle tourne la tête, toujours dans le sens du vent) nous passons
– nous sommes déjàpassés.

Ce qui se mange : les vivres.

Le visage àce titre – la fin de l’année, les marais vides, leur eau saumâtre irréductiblement jaune (saufs les cas) ; quand je dis on (des pommes) – le petit canard boiteux, celui qu’on a mis dans la poche de l’enfant noyé – je veux dire :
lui
se sauve (ce n’est pas lui) sorte d’extase, délire de possession, l’hôte inconnu se présente les yeux fermés, désagrège, devant le reflet, l’œil grossi àla loupe (la perte de l’image)
– code couleur passant du vert au bleu, paysage.

Variante : elle est ce vieux garçon àla bouche bleue.

7 octobre 2014
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