Pauline Sauveur

* Public Averti : déclarer le temps zéro_nocturne #11

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, dernier épisode — Il n’empêche que débrancher la machine et la relancer est une technique dont nous avons connu le succès dans nombres de nos manipulations informatiques au fil des années.

Vivre ou ne pas vivre sans Facebook_nocturne #10

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, avec Arnaud Genon — Je suis un facebookeur. Je facebooke très régulièrement. S’adonner à la facebookinerie permet de tuer le temps pour – pense-t-on – éviter de mourir d’ennui.

Offacebook : éloge de la trahison_nocturne #9

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je confesse sans honte que mon premier réflexe, lorsque j’allume mon ordinateur, une fois mes mails vérifiés, est d’ouvrir Facebook. En somme, je suis un traître à ma propre cause.

Facebook : dormez mieux, détendez-vous_nocturne# 8

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — À l’écran, il y a une terrasse, on imagine un café, des amis, on entend des paroles et on devine la main qui tient le portable comme on tient tous le nôtre.

Facebook : pilule bleue ou pilule rouge ?_nocturne #7

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Ce que je constate, autour de moi, et à travers les fenêtres du wagon, sur le quai de la gare – et avant cela dans la gare, et dans la chaîne de magasins où je me suis payé un café – c’est combien, derrière nos masques, nous devenons virtuels.

Trois lois pour définir Facebook_ nocturne #6

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je n’ai fait que réduire, pour une part très variable suivant les jours, mon usage de Facebook. Et réduire ce n’est que faire moins, jamais autrement ni mieux.

Facebook, « acceptifs » et désintox_nocturne #5

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Nous y avions cherché pendant ces deux mois un souffle de vie ; et certains d’entre nous avaient recommencé à mettre le doigt sur les failles de nos existences.

Facebook / promettre et compromettre_nocturne #4

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’impression d’être dans une immense demeure sans lumière et d’avancer avec une lampe de poche, n’éclairant que l’infime parcelle de mon parcours en train de se faire.

Un monde (virtuel)_(Facebook) Dans la ligne de mire_nocturne #3

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’ajout sur Facebook reviendrait donc, pour tenter une comparaison avec la grande distribution, à comptabiliser le nombre d’entrées dans un magasin, sans s’intéresser particulièrement à leurs achats, qu’ils en fassent ou non.

Facebook est une illusion, se défaire des réseaux sociaux_nocturne #2

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Cette impression que l’on ressentait l’un et l’autre que quelque chose devait changer, qui ne changeait pas.

Facebook, ou la distanciation numérique_nocturne #1

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — La part d’illusion du réseau, l’accélération constante du système, l’appauvrissement des échanges.

Pauline Sauveur & Laurent Herrou | Nocturne

Interroger les réflexes numériques sur Facebook et les réseaux sociaux

Facebook, ou la distanciation numérique_nocturne #1

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — La part d’illusion du réseau, l’accélération constante du système, l’appauvrissement des échanges.

Facebook est une illusion, se défaire des réseaux sociaux_nocturne #2

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Cette impression que l’on ressentait l’un et l’autre que quelque chose devait changer, qui ne changeait pas.

Un monde (virtuel)_(Facebook) Dans la ligne de mire_nocturne #3

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’ajout sur Facebook reviendrait donc, pour tenter une comparaison avec la grande distribution, à comptabiliser le nombre d’entrées dans un magasin, sans s’intéresser particulièrement à leurs achats, qu’ils en fassent ou non.

Facebook / promettre et compromettre_nocturne #4

Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’impression d’être dans une immense demeure sans lumière et d’avancer avec une lampe de poche, n’éclairant que l’infime parcelle de mon parcours en train de se faire.

Pauline Sauveur | La chaise (vidéos)

en résidence au Conseil départemental de l’Essonne — Et la chaise ?
Elle est dans mes images depuis longtemps l’objet qui parle. La chaise installation. La chaise que je renverse précautionneusement dans la salle du petit déjeuner, comme un corps s’allonge et dont on ne sait trop ce qui lui arrive, dans la photo.

Le travail de la pierre (vidéo)

Pauline Sauveur au Conseil départemental de l’Essonne — D’habitude la carrière est étonnamment silencieuse. Aujourd’hui il y a ce calme, leur calme, dans le bruit des moteurs et des compresseurs à air.

Pauline Sauveur | territoire(s)

post-résidence : publication du projet Presqu’îl-e dans la revue NiepceBook

Notes #13 - (1 décembre 2016)

Journal de résidence de Pauline Sauveur — Conclure, le journal en ligne, le journal dans sa version expurgée et papier, et conclure pour la tête. Peut-être la conclusion sera celle du corps qui a sa propre logique, lui qui ne fera plus le voyage à un moment donné.

Laurent Herrou et Pauline Sauveur | Un monde _ Tir à vue

Faire face à la violence du monde avec les (l)armes de l’écriture

Laurent Herrou et Pauline Sauveur | Un monde_Tir à vue (introduction)

Introduction à une nouvelle chronique : "Deux textes mêlés dès le départ pour une lecture performance, qui abordent l’indissociable dimension politique de ce que nous sommes."

Laurent Herrou et Pauline Sauveur | Un monde_Tir à vue (l’art n’est pas une guerre)

Ce n’est pas un cadeau non plus.
C’est là, vous avez de la chance : nous sommes là.
Nous vous avertissons de notre présence, nous sommes des klaxons si vous voulez.

Laurent Herrou et Pauline Sauveur | Un monde_Tir à vue (enregistrement)

Séance d’enregistrement de la lecture Un monde _ Tir à vue à l’Auditorium de Bourges le 7 juin 2017.

Laurent Herrou et Pauline Sauveur | Un monde_Tir à vue (lire en écho)

Lire au public, à deux voix, c’est dire deux fois, se répondre. C’est une répartie, du vent, du bruit. C’est l’espoir de l’écho. Ce qui parfois se crée et qui parfois revient.