Bernard-Marie Koltès

"Bernard-Marie Koltès est mort il y a exactement quinze ans. Depuis, son œuvre n’a cessé de croître en influence. Parce que nous avons plus de documents, de lettres, d’entretiens pour la comprendre. Mais surtout parce que nous ne cessons d’y revenir à mesure que nous progressons chacun dans notre propre travail, et que nous le retrouvons devant nous, où les relations des êtres sont les plus urgentes, fragiles, nocturnes. Comment Koltès s’est-il inventé lui-même ?"
Pour Koltès, de François Bon, publié aux Solitaires intempestifs.

Autres liens et ressources

 Hommage à Bernard-Marie Koltès prononcé par François Bon le samedi 24 juillet 2004, à 11h, au festival d’Avignon

 Pages Bernard-Marie Koltès sur le site des éditions de Minuit
et bibliographie

 Un site voué à Koltès : les pages Koltès de Gwenn

 Koltès dans son contexte : Le théâtre dans tous ses états, par Jean-Pierre Thibaudat, sur France-Diplomatie, ainsi que son Théâtre français contemporain (même auteur, même site)

- Enzo Cormann : La révolte des anges
en 1998, Enzo Cormann construit une rencontre post-mortem de Koltès, Basquiat et Chet Baker (sur son site )

Fraternité avec une place vide

"Les figures majeures ne sont pas toujours les plus imposantes". Hommage par François Bon.

Pour Koltès

Paroles sur Bernard-Marie Koltès. Ce qu’en disent ceux qui ont traversé son travail : Heiner Müller, Daniel Jeanneteau, Daniel Delannoy, Moïse Touré, Jean-Louis Martinelli, Michel Vinaver...

"Petit papier indigne", une lettre de BMK

Lettre reproduite dans le numéro de la revue Etudes Théatrales (université de Louvain) : "Bernard-Marie Koltès au carrefour des écritures contemporaines", décembre 2000 - elle accompagne une étude de Patricia Duquenet-Krämer (université de Kassel). Reproduit à la suite, avec son autorisation, le fragment concernant cette lettre.

Christophe Bident, Bernard-Marie Koltès, Généalogies

Après un livre important sur Maurice Blanchot, Christophe Bident a publié aux éditions Farrago un essai : Bernard-Marie Koltès, Généalogies, dont ce texte est extrait.

Le début de La nuit juste avant les forêts

"Tu tournais le coin de la rue lorsque je t’ai vu, il pleut, cela ne met pas à son avantage quand il pleut sur les cheveux et les fringues, mais quand même j’ai osé, et maintenant qu’on est là, que je ne veux pas me regarder, il faudrait que je me sèche, retourner là en bas me remettre en état (...) "