André Markowicz | Un entretien aléatoire


J’écoute àla
bougie
l’éclat de quelque
écho de cuivre
et, le doigt sur les lèvres, la présente
avance
àla rencontre de ce qu’elle
ici, sans doute, fut
avant ma vie, par la
peur qu’elle,
àblasonner le corps
humain
(deux jours sans s’arrêter
jusqu’àce qu’il
ne soit plus lui
mais juste un sac de lui),
soit incapable de se reconnaître :
elle a ouvert la bouche, la
flamme s’est déportée de droite
àgauche
et revient fixe.

février-mars 2011.

1er septembre 2011
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