Å’il pour Å’il
Images venues d’ailleurs : comment les écrivains vivent dans le souvenir des films vus, aimés, détestés. Sont-ils hantés parfois ? D’une imagination l’autre, des récits de l’œil, d’un film, d’un plan, d’un son, d’une coupe. Ou, pour emprunter les mots de Max Jacob, «  Vous condenserez le rythme du Cinéma avec la grêle.  »
Aude Pivin.