La référence négative au "Parti pris
des choses" de Francis Ponge n'est évidemment pas un hasard. Il
s'agit d'aller chercher où les choses conditionnent l'homme, dans
ses gestes, sa relation, alume-gaz, peignoir d'éponge, abri bus,
promenade du chien ou le carton du SDF.
Obsidiane fait le cadeau à Gérard
Noiret d'une reprise de dix-sept ans de quête obstinée dans ces
poèmes arrachés au quotidien, là où il fait sens, même si ça souffre,
que ça chante même sur l'abîme.
Pris dans les choses
par Gérard Noiret
La référence négative au "Parti pris des choses" de Francis Ponge n'est évidemment pas un hasard. Il s'agit d'aller chercher où les choses conditionnent l'homme, dans ses gestes, sa relation, alume-gaz, peignoir d'éponge, abri bus, promenade du chien ou le carton du SDF.
Obsidiane fait le cadeau à Gérard Noiret d'une reprise de dix-sept ans de quête obstinée dans ces poèmes arrachés au quotidien, là où il fait sens, même si ça souffre, que ça chante même sur l'abîme.
On en donne ci-dessous une page et une seule.
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lire aussi, de Gérard Noiret, L'Enfant de vieux, ainsi que "Le mot atelier"
Le catalogue d'Obsidiane via lelibraire.com (Matricule des Anges)