Rencontre avec Leonardo Padura au festival littéraire En première ligne

La quatrième année du festival En première ligne s’est quasiment terminée sur cette rencontre éminente et symbolique. Leonardo Padura, grand écrivain cubain qui publie en France son Å“uvre aux éditions Métailié, était attendu par l’équipe du festival depuis longtemps... occasion donc d’une grande et belle rencontre.


vidéo Marjolaine Grandjean
Son : Clément Maléo

La présentation par En première ligne :

Havanais taciturne et malicieux, Leonardo Padura est de ces romanciers inattendus, comme saisis sur le tard par l’écriture, d’abord journaliste il s’impose avec l’apparition de son Mario Conde, détective "hard boiled" tropical, comme l’un de ceux qui contribuent àréinventer le roman noir et ce depuis une ville qui n’est, alors, déjàplus la Mecque des littératures latino-américaines.

Pour Padura, le succès n’est pas une rente. Son Homme qui aimait les chiens a surpris. Il est, sans doute, par delàles polémiques stériles, l’un des très grands romans de ces quinze dernières années. Hérétiques qui paraît en français en septembre, est du même tonneau. Mario Conde y revient, dans une fresque vertigineuse, bien décidé àréconcilier Carpentier et Hammet. Un hommage sans pareil àcelles et ceux, qui en tout lieu, de tout temps, s’opposent aux conformismes.

On retrouve l’ensemble des captations du festival En première ligne ici

8 octobre 2014
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