Le Deuil des primevères
Dis-moi, disons adieu à nos âmes chéries,
comme aux temps anciens où pour les grands voyages
des mouchoirs s’agitaient sur des faces flétries,
entre les peupliers des routes des villages.
Francis Jammes dans Le Deuil des primevères, ed. Poésie Gallimard
et que les mouchoirs s’agitent pour Ronald Klapka qui vient de nous quitter.
1er avril 2013