Paresse des voies ferrées

Une mise en garde peut être aussi une mise en abyme. Connaissance par ce gouffre..., donc par l’ogre du vide. Tout à trac : Vertigo !

Un pont de chemin de fer, et l’on imagine alors enjamber le garde-fou puisque le résultat est affiché d’emblée ; mais le lac électrique du Bourget, ici au mois d’août dernier, serait, lui aussi, un autre espace, l’autre côté de la rive où se perdre.

Cependant, ne versons pas dans les idées noires !

Marcel Duchamp a posé tout simplement l’hypothèse dans Rrose Sélavy : « Faut-il réagir contre la paresse des voies ferrées entre deux passages de trains. »

Dominique Hasselmann

21 octobre 2005
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