Ce mois-ci, on peut affirmer, en paraphrasant Anton Beraber, que le territoire de la littérature est vaste : La Corogne, l’ancien camp militaire de Rivesaltes, un pays « très étranger », Noisy-le-Sec (mais ne serait-ce pas plutôt Noisy-le-Grand ?) ou le hameau de La Ville Jéhan démoli pour être transformé en carrière à ciel ouvert… Un territoire en constante métamorphose, mais qui rend pourtant les reliefs, les courbes, les toponymes et les échelles inscrits sur les cartes « moins sûrs, moins nets, moins fermement arrimés au vrai. »