« Bruits de langues 2010 »
Rencontres littéraires internationales du 18 au 21 octobre 2010, Université de Poitiers.
En reprenant le titre du recueil du même nom, la vingt-et-unième édition des rencontres rend hommage à Bernard Noël, invité à plusieurs reprises depuis 1980 à l’Université de Poitiers et présent également à cette nouvelle édition.
Langues au pluriel veulent aussi dire la diversité des auteurs invités quant à leurs idiomes et leurs modes d’expression. De la poésie à la bande dessinée, de la francophonie aux langues multiples présentes dans la faculté des lettres et des langues, de la performance aux dialogues et aux expositions, nous voudrions ces rencontres un moment exigeant et stimulant de la vie universitaire.
D’année en année, le tissu des coopérations se fait plus dense. L’association culturelle de la faculté des lettres et des langues et ses partenaires (Le service culturel de l’université, Le centre du livre et de la lecture, l’Espace Mendès-France, la librairie La belle aventure, la Médiathèque de Poitiers et la bibliothèque universitaire, Le Confort moderne et la Maison des 3 Quartiers) continueront à contaminer de cet esprit pas seulement la faculté, mais aussi, et en sortant de ses locaux divers lieux culturels de la ville.
Du lundi 18 au jeudi 21 octobre 2010, tous les jours de 14 heures à 20 heures, on peut assister à un programme riche et divers, mêlant exigence littéraire et exigence politique.
Lundi sera la journée d’Éric Hazan, infatigable éditeur et auteur de fabrique-éditions, qui d’abord fera connaître Eyal Weizman, urbaniste et essayiste israélien, auteur d’une somme sur l’architecture de guerre israélienne, dont Hazan a tiré et édité un chapitre à la Fabrique. Le soir, en compagnie avec Natalie Brémand de la bibliothèque universitaire, il présentera les archives des premiers socialismes. Entre les deux, le département de portugais invite Maria Isabel Barreno, auteure portugaise peu connue en France malgré une œuvre importante. À la suite, il y aura une rencontre avec Jeanne Guyon, l’âme de la collection Rivages Noir. Par ailleurs, un des auteurs de la collection, John Harvey, écrivain anglophone, y sera aussi et viendra une deuxième fois le lendemain, pour présenter son œuvre.
Le mardi se poursuit à la faculté des lettres et langues avec Ludovic Janvier, poète, romancier et essayiste, et se clôt le soir avec Claude Favre, qui lira ses textes à haute voix à l’Espace Mendès-France.
Le mercredi débute par l’auteure de langue allemande, Gila Lustiger, qui lit des extraits de son roman L’Inventaire, en compagnie de Claude Favre, lisant des extraits du roman en français. Suit le romancier italien Gianni Biondillo, édité en France par Joëlle Losfeld. Mathieu Lindon vient à la suite parler de ses romans. La journée se termine par la mise en scène théâtrale d’une bande dessinée en présence de son auteur José Carlos Fernandes à la Maison des Étudiants.
Le jeudi, dernière journée est dominée par des tandems, mais ouverte par Olivia Rosenthal autour de son livre Que font les rennes après Noël ? Suivent d’abord Antoine Rykner et Mathieu Lindon, puis honneur aux langues régionales avec Jean-Yves Casanova et Michel Gautier, pour terminer par une rencontre entre Antoine Emaz et Bernard Noël.
Comme un des buts de « Bruits de langues » est aussi la rencontre entre les participants et leur public, nous avons prévu une soirée conviviale autour des auteurs encore présents, des lectures, discussions, une scène ouverte et des petits canapés accompagnés d’une boisson fraîche.
L’entrée à toutes les manifestations est libre.
Pour le programme détaillé, plan d’accès, la présentation des écrivains, etc., consulter le site de l’association.
Langues au pluriel veulent aussi dire la diversité des auteurs invités quant à leurs idiomes et leurs modes d’expression. De la poésie à la bande dessinée, de la francophonie aux langues multiples présentes dans la faculté des lettres et des langues, de la performance aux dialogues et aux expositions, nous voudrions ces rencontres un moment exigeant et stimulant de la vie universitaire.
D’année en année, le tissu des coopérations se fait plus dense. L’association culturelle de la faculté des lettres et des langues et ses partenaires (Le service culturel de l’université, Le centre du livre et de la lecture, l’Espace Mendès-France, la librairie La belle aventure, la Médiathèque de Poitiers et la bibliothèque universitaire, Le Confort moderne et la Maison des 3 Quartiers) continueront à contaminer de cet esprit pas seulement la faculté, mais aussi, et en sortant de ses locaux divers lieux culturels de la ville.
Du lundi 18 au jeudi 21 octobre 2010, tous les jours de 14 heures à 20 heures, on peut assister à un programme riche et divers, mêlant exigence littéraire et exigence politique.
Lundi sera la journée d’Éric Hazan, infatigable éditeur et auteur de fabrique-éditions, qui d’abord fera connaître Eyal Weizman, urbaniste et essayiste israélien, auteur d’une somme sur l’architecture de guerre israélienne, dont Hazan a tiré et édité un chapitre à la Fabrique. Le soir, en compagnie avec Natalie Brémand de la bibliothèque universitaire, il présentera les archives des premiers socialismes. Entre les deux, le département de portugais invite Maria Isabel Barreno, auteure portugaise peu connue en France malgré une œuvre importante. À la suite, il y aura une rencontre avec Jeanne Guyon, l’âme de la collection Rivages Noir. Par ailleurs, un des auteurs de la collection, John Harvey, écrivain anglophone, y sera aussi et viendra une deuxième fois le lendemain, pour présenter son œuvre.
Le mardi se poursuit à la faculté des lettres et langues avec Ludovic Janvier, poète, romancier et essayiste, et se clôt le soir avec Claude Favre, qui lira ses textes à haute voix à l’Espace Mendès-France.
Le mercredi débute par l’auteure de langue allemande, Gila Lustiger, qui lit des extraits de son roman L’Inventaire, en compagnie de Claude Favre, lisant des extraits du roman en français. Suit le romancier italien Gianni Biondillo, édité en France par Joëlle Losfeld. Mathieu Lindon vient à la suite parler de ses romans. La journée se termine par la mise en scène théâtrale d’une bande dessinée en présence de son auteur José Carlos Fernandes à la Maison des Étudiants.
Le jeudi, dernière journée est dominée par des tandems, mais ouverte par Olivia Rosenthal autour de son livre Que font les rennes après Noël ? Suivent d’abord Antoine Rykner et Mathieu Lindon, puis honneur aux langues régionales avec Jean-Yves Casanova et Michel Gautier, pour terminer par une rencontre entre Antoine Emaz et Bernard Noël.
Comme un des buts de « Bruits de langues » est aussi la rencontre entre les participants et leur public, nous avons prévu une soirée conviviale autour des auteurs encore présents, des lectures, discussions, une scène ouverte et des petits canapés accompagnés d’une boisson fraîche.
L’entrée à toutes les manifestations est libre.
Pour le programme détaillé, plan d’accès, la présentation des écrivains, etc., consulter le site de l’association.
13 octobre 2010