Ryoko Sekiguchi invite les éditions de l’Épure
Nous invitons, pour la quatrième et dernière rencontre de l’année (mais ne vous inquiétez pas, ça continue aussi l’année prochaine !) Sabine Bucquet-Grenet, éditrice des éditions de l’Épure.
À mon avis, tout le monde a une fois au moins donné un coup d’œil sur sa fort élégante collection « Dix façons de préparer », ses livres de forme allongée, d’une couleur et d’un papier chaque fois différents, qui épouse parfaitement le thème de chaque tome.
La collection compte aujourd’hui plus de 200 titres, et les éditions de l’Épure viennent de fêter leurs vingt ans. Quiconque travaille autour de l’édition sait quelle aventure extrêmement courageuse c’est de tenir une maison d’édition indépendante.
Je lui demanderai de nous raconter son aventure en tant qu’éditrice de livres culinaires. Je pense aussi faire tourner la soirée autour de l’idée de la « collection ».
Et puisque, lors de notre rencontre de novembre à la Cocotte, j’ai évoqué l’idée qu’un livre de cuisine est le fruit d’une équipe équivalente à celle du théâtre, on pourra comparer le rôle du directeur de collection à celui du producteur ou du metteur en scène.
Nous continuerons donc, ce mois-ci encore, de cerner ce qui constitue un livre de cuisine, de façon joyeuse et pleine d’enseignement…
Et puis surtout, vous verrez quelle femme fantastique est Sabine, pleine d’énergie. Dès notre première rencontre, j’ai tout de suite été saisie par son charme !
Alors venez vous laisser séduire par Sabine, et par ses livres !
Son site : http://www.epure-editions.com/
Je ne sais pas encore ce que je vais vous proposer à grignoter à cette soirée. Je pense qu’il y aura encore quelques flacons d’alcool aux fruits sur notre table, pour ceux qui auront besoin d’un revigorant contre le froid. Et comme l’un des tomes les plus récents de la collection « dix façons de préparer » traite du cochon, je vais peut-être faire quelques mets de cochon à la façon japonaise (à la façon okinawaïenne, je veux dire, parce qu’au Japon, la capitale de la cuisine de cochon, c’est tout de même Okinawa). À moins que je me lance dans quelque chose sur la fumée ? Ça sera un peu la surprise…