Sylvie Pavillard -Petroff |Torsion
Triste, triste, triste, la lumière a presque disparu dans le crépuscule de la réalité du tableau.
Fuite vers le plan d’eau encouragée par la ligne du pêcheur.
La lumière et le rouge, voilà ce qui sauve des fumées de l’usine atomique Saint-Ange.
Gris, beaucoup de gris, un ciel calamiteux au-dessus des formes rondes et douces.
Seules les pierres, les constructions de pierre sont droites et raides.
Rouges, trois tâches rouges…drapés, retombées de rouges, tout est relevé, révélé.
Vermillon violent jeté sur les zones vertes et brunes de la campagne romaine.
Douceur de vivre dans la nature sur l’autre rive, de l’autre côté de la noirceur qu’enferme les murailles
1er février 2012