"jamais on n’aurait pu..." I Pierre Drogi

Douze portraits élémentaires - courants, reflets, matières - pour fixer un visage.

Je me suis figé, la langue distraite par le sel sur mes lèvres

« Il faut de bonnes jambes / pour déplacer le vent », Paol Keineg

Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 1. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.