création

Le texte examine un amour déchiré qui tente de résister à sa transformation, dans une narration où plusieurs voix font irruption et interrogent l’autrice, sur fond d’images oniriques.

Notes sur le Territoire (7)

Chaque weekend, aux beaux jours, ils venaient déjeuner en bord de Seine.

Mariangela Gualtieri (Cesena, 1951). Traduit de l’italien par Emanuela Schiano di Pepe

Gérard Cartier | Aamon, extrait d’un roman en cours d’écriture
— Livia

La chronologie n’est pas une nécessité pour aboutir à la question finale

De l’oiseau au perchoir en passant par les divinités et la mort

Une série de poèmes sur la langue, le corps et la parole qui brûle. Une parole qui se dit du bout de la langue pour toucher l’autre, pour le guider dans son obscurité.

Métamorphoses successives d’une collectivité mal définie. Nos corps : rythmes devenant paysages.

Notes sur le Territoire (6)

Gérard Cartier | Aamon, extrait d’un roman en cours d’écriture
— Le huitième oncle

Gian Mario Villalta (Visinale di Pasiano, 1959). Traduit de l’italien par Emanuela Schiano di Pepe

Fin de millénaire, texte inédit

Notes sur le Territoire (5)

Lancelot Hamelin aux médiathèques du groupe hospitalier St-Louis Lariboisière — Une ébauche de chapitre 2 pour un roman sur le bîmârîstân al-Arghoun d’Alep

Écrire avec, par Frédérique Cosnier.
Avec le film "Ailleurs, Partout" de Vivianne Perelmuter et Isabelle Ingold (2021)

« Ar TAUD la-conscience-du-feu-premier , en tenue asilaire , assis donc sur le banc de béton blanc cassé à deux lattes... »

Chaque être humain est le résultat d’un indécent jeu de hasard...

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Visiter, voir, entendre Antonin Artaud à Ville-Evrard, un vidéo-poème réalisé par la photographe Lydia Belostyk

...« un jour férié pour célébrer et honorer la vie de Christophe Colomb » ...« excusez-moi »...« ces jours-ci c’est un jour pour honorer et respecter l’indigénat »

Quel mot hormis Faïence suppose du débris sa caisse de résonance ?

Gérard Cartier | Aamon, extrait d’un roman en cours d’écriture
— Le drame du Vercors, 1944.

Chaque instrument de musique a ses grands chambellans.

Notes sur le Territoire (4)

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

On reconnaît à cela les poètes qu’ils s’approchent lentement de leurs lèvres. Comme la rumination, la poésie exige le concours de nos quatre cerveaux...

Montagnes et eaux, c’est le paysage, dans la nature comme dans la peinture, mais en quoi diffère-t-il vu d’avion ?

Lancelot Hamelin aux médiathèques du groupe hospitalier St-Louis Lariboisière — Notes pour un premier chapitre du livre en cours

Anges, mésanges : mécompte du ciel. Les enfants jouent autour de la nappe en papier. Combien ce sachet de dragées peut-il contenir de tristesse, pour qu’on se soit donné à dix mille ans de là la mort, ou le mot ?...

Joachim Séné | écrire avec l’algorithme

Giovanna Sicari (Tarente, 1954 - Rome, 2003). Traduit de l’italien par Emanuela Schiano di Pepe

Les journaux lui enseignaient ce qu’il fallait savoir de lui.

Pierre-Vincent Chapus à la Ferme du Bonheur (Nanterre) — John Cage/Einstürzende Neubauten par Hermine et Duarte

Traduits par Pascal Gibourg, dans le souci et la curiosité d’entendre et de faire entendre.

La poésie fait la renommée des êtres. Elle ne fait même que les renommer : seul est ce qui est dit. La poire que j’écris n’est pas celle que je dis que je mange...

texte inédit

Gérard Cartier | Aamon, extrait d’un roman en cours d’écriture
— Le capharnaüm

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Lignes en mouvement dans les tempêtes, les torrents et les voyages intempestifs. Histoire de durée et d’espace qu’écrivent les verbes à l’infinitif et les cœurs passionnés.

Le poète est une espèce en voix d’extinction. Bruyamment il bruisse dans les feuilles où le monde s’écrit...

Série de C. Jeanney, épisode 12. "Je ne sais pas si on peut s’apaiser"

Notes sur le Territoire (3)

Quelle est la forme géométrique d’une penne de pouillot, d’un regard ou des tiges ramollies par l’eau, venues s’agglomérer sur la paroi d’un vase guilloché ?...

Gérard Cartier | Aamon, extrait d’un roman en cours d’écriture
— L’incendie de la Sacra

Où notre corps se tient-il, sinon tout au bout de nos sensations, là où l’intelligence n’est qu’une ombre portée depuis de lourds volumes oubliés sur des escarpolettes ou des guéridons en fer forgé ?...

Nuages de pensée XVIII

Quatrième livraison. Le poème ne fixe rien de ce que nous savons voir : il n’est que le pense-bête – de quelque manière qu’on prenne cette expression – de ce que nous ne saurons jamais ne pas avoir vu...

Troisième livraison. Quelque part meurt un monde. Ses plantes agonisent dans la siccité des loams et des prairies. Ses animaux hurlent dans la nuit qui les prend. Ses livres tournent aux reliques...

Commencer par l’hiver, en déduire une cinquième saison puis finir par un himorogi qui dure le temps du texte

Durant toutes ces années loin des siens, plus que tout lui avait manqué ce ciel familier...

Notes sur le Territoire (2)

Deuxième livraison. Le soir exige la joie de la houe. C’est dans ces moments si particuliers du soir que sont l’été, les os ou les guêpes, qu’écrivent les poètes. La poésie nous tient lieu de famine...

Dans l’expérience autobiographique la réponse d’une matière à son liquide est le ciment

Le philosophe n’est pas exotique. Les bilingues ne sont pas exotiques. 

Première livraison. Suint, la graisse que sécrète la peau du mouton, et qui se mélange à la laine. Le suint est le dernier territoire de la chair vive, d’emblée basculé dans l’existence technique du cérémonial humain...

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Série de C. Jeanney, épisode 11. "On n’est pas forcé d’accepter une décision absurde."

On a laissé en partant quelques traces, des absences, quelques espoirs en dépôt. Les choses sont là, ici, maintenant. Il faut les saisir. C’est peut-être urgent, à voir.

Notes sur le Territoire (1)

C’est de cette manière qu’il lui avait appris à surmonter sa peur des orages...

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Série de C. Jeanney, épisode 10. "Ça va être l’amorce. Un panoramique."

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Poèmes d’actualité ou l’art de mettre du sens où il n’y en a pas

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Nuages de pensée XVI

J’ai avalé mon stylo, puis mon imprimeur (...)

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

“Ta vie sera d’errer sur la mer de l’amour comme un bateau sans voile” lui avait dit la vieille.

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Série de C. Jeanney, épisode 9. "J’ai tout un répertoire de lieux."

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Quelques poèmes évoquant nos frôlements, nos palpitations, nos immobilités, nos inondations. Perception du matériau sous-jacent dont sont faits nos corps, nos liens, notre relation à nous-mêmes.

Un poème tout fait, composé à partir de l’exposition RENVERSER SES YEUX, photographie, film, video dans l’arte povera (BAL et Jeu de paume, d’octobre 2022 à fin janvier 2023)

Ce sont des tableaux, des textes, des endroits vus, lus et interprétés, enfin, il s’agit d’un tout varié en train de s’écrire, mes chroniques vers la poésie.

Éléments et notes sur la série Paysage aveuglés, fictions de paysage (2022) de Frederic Khodja

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Entrée en [...] (mot censuré), premier jour

Catherine Froment à la basilique de Saint-Denis — Laissez ce livre ouvert...

Série de C. Jeanney, épisode 8. "Passe-moi les jumelles. Je trouve ça juste beau."

Souvenir d’un rêve éveillé par Vincent Fleury

Il avait toujours eu pour les affaires un goût immodéré doublé d’une complète absence de clairvoyance.

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Texte inédit

Série de C. Jeanney, épisode 7. "J’aime le mot désordre parce que c’est un mot réel."

Marie Curie qu’on assassine

Textes inédits

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Avant de monter là-haut, il avait eu le désir d’un bain de mer.

Caviardage instinien du code de l’urbanisme

Nous n’avons pas de temps à perdre

La voix poétique s’adresse à la langue et se questionne sur la douleur qu’elle provoque en elle.
La langue est ici raccourcie, ordinaire, insuffisante, et toujours violente.

Ambulations au cœur du "Silencio", un labyrinthe espagnol.

Série de C. Jeanney, épisode 6. "Je voudrais qu’on regarde cette citation."

− Tu ne m’as rien dit de Nice ?
− Non, je ne t’ai rien dit de Nice.

Quelque part entre le Sud des Etats-Unis et une suisse originaire, paysages et gens se confondent dans l’intensité d’un moment.

Il avait fui la grande ville et sa fuite avait suivi le fleuve...

A la recherche de la langue perdue. De la langue d’avant les mots.

La tombe que donc je suis.

Ludovic Bernhardt — Sélection de 4 pages de "Le lac (Décors à réactiver)" rédigées durant la résidence à l’hôpital F.-Widal (Paris). Poésie expérimentale. En cours d’écriture...

A la recherche de la langue perdue. De la langue d’avant les mots.

A la recherche de la langue perdue. De la langue d’avant les mots.

Le sable est brûlant, le temps à l’orage, une vapeur poisseuse vient de l’océan.

Nuage de pensée XIV

Quelques poèmes de la poète soudano-américaine Safia Elhillo, traduits par Roxana Hashemi.

Texte inédit

« J’écrirai : la joie envahissant Jénine de ses six directions (...) »

Inédit, extrait de Lamenta des murs, huitième volume du "Cycle des exils", à paraître.

Inédit, extraits d’un texte en cours

À en juger par le catalogue raisonné qu’un expert de Sotheby’s avait commencé à établir...

Texte inédit

Série de C. Jeanney, épisode 5. "C’est probablement une triste réflexion."

Poésie expérimentale de Ludovic Bernhardt (accueilli en résidence par le groupe hospitalier St-Louis Lariboisière) — Esthétique & massacre

Pour se déprendre de la pratique des bâtonnets d’écriture, rien de mieux que cet étrange cylindre, l’Halilintar. J’apprends à faire corps et à recevoir souffle. Le tube-tonnerre m’instruit.

Dans la fournaise de son déguisement d’ours, il profitait d’un anonymat provisoire...

Série de C. Jeanney, épisode 4. " Ce ciel est dingue. Totalement jaune."

Depuis qu’ils n’ont plus l’occasion de planter des arbres ensemble.

Arpenter l’aridité, se souvenir d’avoir toujours été ce paysage. Un Être du Rêve tapi dans la roche et le sang.

Extraits traduits de l’italien par Emanuela Schiano di Pepe

Un poème d’Ameziane Kezzar (en résidence au Centre culturel franco-berbère, Drancy)

Extrait d’un journal en cours d’écriture autour des visages, dédié au chanteur-auteur-compositeur Jean-Louis Bergère

Le poète belge Marc Dugardin était l’invité de remue.net le 23 mars 2022 à la Maison de la Poésie. En avant-goût, il ouvrait ses cahiers de travail pour nous en livrer quelques fragments inédits.

Il écrivait régulièrement à son vieil ami pour lui donner des nouvelles de son jardin...

Série de C. Jeanney, épisode 3. "J’ai construit une armure de brindilles."

La première image est toujours identique. Il le voit le dos courbé sur sa bêche en train de creuser.

Le poète belge Marc Dugardin sera l’invité de remue.net le 23 mars 2022. En avant-goût de cette rencontre, il ouvre ses cahiers de travail pour nous en livrer quelques fragments.

Deux poèmes inédits de Roxana Hashemi

Tout le monde reconnaît aussitôt l’image autant que la voix...

Le poète belge Marc Dugardin était l’invité de remue.net en mars 2022. En avant-goût, il ouvrait ses cahiers de travail pour nous en livrer quelques fragments inédits.

Une suite de dix-sept poèmes liés : « Le soleil ne se couche pas, nous ne sommes pas situés »

Série de C. Jeanney, épisode 2. "Est-ce que je dois montrer les dents ?"

Le poète belge Marc Dugardin sera l’invité de remue.net en mars 2022. En avant-goût de cette rencontre, il ouvre ses cahiers de travail pour nous en livrer quelques fragments encore inédits.

Le poète belge Marc Dugardin était l’invité de remue.net en mars 2022. En avant-goût, il ouvrait ses cahiers de travail pour nous en livrer quelques fragments inédits.

Brueghel l’Ancien à travers un réseau de neurones ; parce qu’il faut reparler de ces réseaux.

Une suite de six poèmes en clair-obscur.

Il faut admettre que bien souvent la réalité fait la nique à la fiction et montre de trop de zèle à multiplier les coïncidences.

Un texte inédit de fin d’année

Origines, visées et méthode d’écriture d’une suite d’écrits, de paroles notées et transcrites : "sismograpraphe" — par C. Jeanney

Cinq poèmes au cœur desquels se mêlent quotidienneté, trivialité, humour ainsi qu’un sens certain de la brièveté. Traduit du danois.

Nuages de pensée XI

Deux poèmes inédits

Poèmes qui tournent autour du thème de la mémoire, du souvenir ; autour d’une figure absente.

Cinq poèmes extraits d’une série intitulée "Les Saisons", réalisée à partir du découpage et détournement de magazines de psychologie positive

Elle appelait souvent aux heures les plus inhabitées de la nuit...

Le poème part du corps et des histoires. De son corps et de l’Histoire. Il part à la recherche du signe zéro. Il mène une enquête sur le sens. Sur l’absence et le sens.

Un poème-folder est un poème qui se lit en cliquant de dossier en dossier pour aller de strophe en strophe

Que peut-on face à la violence du langage médical lorsqu’on reçoit ses résultats de santé ? Un vidéo-poème, quasi-ready-made.

Trois poèmes courts sous forme de quatrains - sur des instants de rupture.

Nuages de pensée X

Un poème de Benoit D’Afrique (en résidence au Domaine national de Saint-Cloud et à la Maison des Jardies, Sèvres)

Bref récit d’Ameziane Kezzar (en résidence au Centre culturel franco-berbère, Drancy)

Extrait de l’ensemble inédit "Maintenant"

Je ne sais pas s’il faut croire ce que l’on racontait à propos de cette femme...

Chansons des mers du Sud, Mariano Rolando Andrade, traduit à quatre mains par l’auteur et par Christophe Manon

Deux façons de se tenir dans le réel, deux poèmes : en n’étant pas sûr d’être soi-même ; en refusant de s’incarner dans un sujet fini.

Édith Azam et Pierre Soletti aux Lemms (Paris)

Extrait de Lamenta des murs, huitième volume du « Cycle des exils », à paraître.

Une nouvelle d’Ameziane Kezzar (en résidence au Centre culturel franco-berbère, Drancy)

En découvrant Bergame, on s’interroge sur ce qui a bien pu inspirer à Debussy son élégante et vaporeuse suite...

Un poème de Kouam Tawa, en résidence à Mantes-la-Jolie avec le Collectif 12

Je parle depuis mon ignorance. Le poème est pour moi un discours baroque, le point de vue de l’étrange qui permet le déplacement du regard. Amorce de tous les décentrements possibles.

par Aram Kebabdjian — Deuxième texte de "Zone bleue", installation de réalité virtuelle

Un poème d’Ameziane Kezzar

Nuages de pensée IX

Poème écrit à l’écoute de Bill Evans et des variations du paysage (extrait d’un recueil inédit, Le Clavier d’hiver).

D’abord il l’aperçoit. de loin. c’est une image qu’il voit chaque année.

"Le temps qu’il fait" est une phrase qui, pour Roland Barthes, caractérise le haïku, et la saisie d’un instant déjà enfui. Par Joachim Séné.

Dans les poèmes pour chien, l’on entend le nom du dédicataire canin du texte. Tournoi entre cinq traducteurs qui se confrontent à des poèmes pour chien, à l’invitation de Santiago Artozqui.

Nuages de pensée VIII

Ces poèmes s’inspirent de la coexistence permanente de sentiments contraires, extrêmes. On ne sait parfois desquels il faut se défendre .

De la Russie, il ne connaissait que l’Eugène Onéguine de Pouchkine...

Devant l’immense 5/5 | Rebecca Elson, poèmes traduits par Sika Fakambi

Leur grand-mère a fait installer des lits superposés dans la chambre

un court récit d’Ameziane Kezzar (en résidence au Centre culturel franco-berbère, Drancy)

Cette série de poèmes m’a été inspirée par mes errances roumaines. Tout ici m’a ramené à l’enfance, l’exil étant parfois le meilleur moyen de cheminer vers soi.

Devant l’immense 4/5 | Rebecca Elson, poèmes traduits par Sika Fakambi

Chronique du quotidien : se battre, pour quoi faire ?
Parallèle entre l’auteur et le personnage de Carol, dans la série The Walking Dead.

Devant l’immense 3/5 | Rebecca Elson, poèmes traduits par Sika Fakambi

Inspirés par Thief The Dark Project, Cookie Clicker, Half-Life, Fortnite...

Devant l’immense 2 /5 | Rebecca Elson, poèmes traduits par Sika Fakambi

Devant l’immense 1/5 | Rebecca Elson, poèmes traduits par Sika Fakambi

Il ne faut pas lire la presse. Il faut la dé-lire. De cet axiome sont nés ces « Articles », qui pillent arbitrairement parmi les rubriques, échos et faits divers parus dans le quotidien La Montagne à l’été 2007, et qui recomposent le journal halluciné d’un sujet parti en vacance(s).

Nuages de pensée VII

L’hospitalité du désert, poèmes inédits de Federico Mehrbald, traduits de l’espagnol (Argentine) par Laura Gunst et Elina Cohen.

par Édith Azam aux Lemms (Paris) — C’est pendant l’heure du déjeuner, entre midi et 14 h, que les "poèmes à emporter" sont écrits

Ce compagnonnage au long cours avec ses Carmélites commençait à lui peser.

Bientôt ils vont déjeuner. On les appellera. Mais ça n’est pas leur histoire. ça.

Pierre Soletti aux Lemms (Paris)

Un poème de la poète soudanaise Safia Elhillo, traduit par Roxana Hashemi

Édith Azam aux Lemms (Paris)

Nuages de pensée VI

La suite intitulée « Chapitres » est ce qui reste quand on tente d’écrire un ou deux romans, qu’on les détruit, qu’on en recueille les copeaux et qu’on les agence comme en rêve.

extrait d’un récit d’Ameziane Kezzar (en résidence au Centre culturel franco-berbère, Drancy)

Inspirés par Pac-Man, Super Mario Bros 2, The Legend of Zelda, Dungeon Keeper...

Dans un livre écrit par un sage voyageur, il avait lu cette phrase qui ne le quittait jamais...

Nuages de pensée V

Un poème de Kouam Tawa en introduction à sa résidence à Mantes-la-Jolie avec le Collectif 12

Citer la science et les grands de ce monde ne changera rien, le sort en est jeté : derrière les mots, ta parole est solitaire, ne la fous pas en l’air.

temps de lecture 5 minutes
— Un conte de Sabine Macher pour le dossier Confinement bis

Trois poèmes inédits

Composition (voix, électronique) de Fernando Munizaga à partir d’un poème d’Irène Gayraud, traduit homophoniquement avec l’Outranspo.

Nuage de pensée IV

Inspirés par Tetris, Super Mario Bros, Prince of Persia, Doom...
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Il avait l’onomastique rêveuse...

par Emmanuel Moses à l’Université de Cergy-Pontoise, extrait 1

Nuages de pensée III

Trois poèmes inédits, traduits par Luc Bénazet et Fabiana Bartuccelli

Le poème est promesse. Action. Il arrive. Il est là. Il va l’être. Il te parle déjà. L’entends-tu ?

Déambulation dans la cathédrale de Rodez ; une vague réminiscence du mythe d’Orphée ; l’outrenoir de Pierre Soulages dont le musée se situe non loin de cette cathédrale avec le Café Broussy.

en résidence au théâtre de Brétigny-sur-Orge — poème contribution au dossier thématique Confinements

Ils fêtaient les Rois avec quelques jours de retard et l’épiphanie ce fut moi...

Un poème inédit de Pierre Drogi

Poème traduit du bengali par Nina Cabanau

Deuxième extrait de leon@paon.fr, une pièce en cours de Bruno Allain, dans lequel Léon s’interroge sur l’invisible

Sur Chant Tacite

De Dario Fo, je n’ai lu aucun livre, ni vu aucune pièce...

par Claudine Galea — Chambres d’hôtel et ponts

Un écrivain oisif décide de revenir dans son village natal en bord de mer, quitté depuis longtemps. Il ne saisit pas clairement l’origine de cette décision. La maison voisine abrite un peintre, Alberto.

Survivre à l’instant. Autoportraits à la deuxième personne.

Le petit mot de James, tracé d’une écriture incorrecte et malhabile. Il était bien là, vivant sous mes doigts. Et ses mots ont trouvé ma mémoire.

Nuages de pensée II

Un inédit de Samy Langeraert

Chute / libre / décomposée

poème au gré des courants d’eau / l’eau va et vient / rien ne la contient / pas même nos contours

Un poème de Mahmoud Darwich traduit homophoniquement et zukosvskiennement par l’Outranspo en anglais et en français.

Trois poèmes où il est question d’une jambe coupée, du jour perdu et d’une forme muette étendue dans la neige.

Trois poèmes où l’on retrouve des thématiques chères à l’auteur : l’exil volontaire, l’éloignement du pays natal ; mais aussi le jeu vidéo en tant qu’antithèse de la distance, pouvoirs de la simulation.

Sur la peinture d’Anne Moser

Parti de Moscou pour rejoindre l’île de Sakhaline, Anton traverse la Sibérie.

Poème et emprise
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

C’est un texte à lire couché.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Cellules : c’était le titre de mon projet d’écriture.

Une faveur sauvage

Nuages de pensée

La forme "mess(e)" désigne une pièce multilingue et sonore qui conjugue la connotation religieuse du mot en français avec le sens de désordre contenu dans le mot anglais "mess". Proposition de Lily Robert-Foley à l’Outranspo.

Un récit paru chez Marest éditeur en octobre 2020

Des poèmes écrits en compagnie de photographies, afin de poursuivre le regard et de l’étendre à la main.

Il était toutes les heures du jour et de la nuit, du monde et de sa suite, les corps se diluaient dans les rêves que nous finissions par devenir les uns pour les autres.

Je n’allais pas te voir souvent : j’avais peur de la mort et tu sommeillais déjà dans ses bras.

Quelques poèmes à pied pour aller par les rues via la ville à son tour traversée d’inextricables vies, nostalgies humaines, à marcher, dériver, recourir au fil conducteur de l’errance, et se mettre en mouvement pour de vrai, à la verticale...

Ceci est mon âme

Une forme littéraire qui mêle poésie et traduction, à la fois basée sur une approche traditionnelle de la traduction, mais aussi créative, car elle produit de nouvelles connaissances. Par Santiago Artozqui.

On trouvera ici des extraits d’un livre plutôt bref. Heureusement, il est écrit comme pourrait le faire ce pêcheur marseillais dont la sardine bouchait l’entrée du vieux port. Cela lui donne du volume.

Méthode de traduction inventée par Chris Clarke, nommée d’après la nouvelle de Borges « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » (1940), où l’on fait passer le texte de la langue source à la langue cible par le filtre d’une troisième langue. (Texte en anglais)

Une proposition collaborative de Camille Bloomfield faite à Santiago Artozqui, Jonathan Baillehache, Chris Clarke, Irène Gayraud, Pablo Martín Ruiz & Lily Robert-Foley.

Extrait d’un roman en cours d’écriture, qui évoque notamment la question de l’importance et/ou le poids de l’origine (en l’occurrence africaine) dans les relations professionnelles

Onomastiquement, on pourrait faire d’Antonio Tabucchi quelque chose d’un peu japonais.

poème pour tenir au sol

Passage de poèmes chronologiques pris dans le temps variable et résistant à l’attelage, fermés ou s’assouplissant, roulant vers la suite. Écrits sur téléphone ou sur carnet. On peut observer des raccords.

Le regard fouisseur d’espace
là où justement il n’y en a pas
à moins que
l’ouverture des brèches
par pulsion occulaire

petite fille des villes déposée dans un coin
de ferme, de boue

Eric Da Silva — Huitième Portrait pour retracer l’Utopie des vingt ans de Lilas en Scène (Les Lilas)

Une série de poèmes improvisés en marchant : Poème - France - profonde / Poème bitumé / Poème - soleil - plombé

Trois poèmes improvisés en marchant : poème qui grimpe, poème du sommet et poème de l’arrivée.

Eric Da Silva à Lilas en Scène (Les Lilas) - ... septième Utopie en "Portrait volé" comme on le dirait d’un baiser, par message téléphonique interposé.

Deux enregistrements de poèmes improvisés en marchant : poème de montée/poème de descente.

étape d’un roman en cours

Tandis qu’ils la regardent couper et assembler les fleurs, ils lui font cet aveu : ils l’envient pour ce don qu’elle a.

J’ai craint un moment, pendant le confinement, de perdre l’écriture. Et puis l’écriture est revenue.

étape d’un roman en cours

Les 10 dernières minutes

A peine débarquée sur l’île, elle le plantait là pour disparaître dans le paysage.

Encore 10 minutes

Texte (février-avril 2020) sur l’écriture et l’importance de la littérature, étape d’un roman en cours

poème fait comme j’te peux

Vous avez 10 minutes ?

Hors de, braillards, fors ce qu’il parfois faut de délicatesse, clandestins d’à travers les bouches des autres - fragment d’une conversation Ossia/Pier Paolo, garçons de vie.

D’une rencontre avec une classe d’un lycée René Descartes, le 10 novembre 2019, où il est question d’îles, de Robinson et des rêves du dit Descartes.

Petite métaphysique allant de la fourmi de Langton (un programme simple à développer et à ce jour aux résultats inexpliqués) aux fractales et (peut-être) aux nombres premiers.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Encore 10 minutes, comme un dimanche

Bien avant le déploiement du covid-19 qui impose au monde le confinement, les forces de l’ordre migratoire travaillait à couper la veine nomade de certains peuples.

Il y a aujourd’hui une heure de minutes déposées ici, plus exactement 1h05

Des mots et des phrases se rencontrent et s’accouplent tout dégoulinant de leur sens bouillonnant. Et voilà qu’au bout de neuf vers, la chose est pesée et il faut s’arrêter là, pour cette fois. Le poète lacanien lève la séance.

 : Ce soir-là, un mot d’ordre avait été lancé, pas tout à fait comme les autres — l’ordre disait que chacun chez soi et jusqu’à nouvel ordre, devait se confiner toute affaire cessante.

Cellules : c’était le titre de mon projet d’écriture. Ça tombe bien, en ces temps de confinement et de distanciation sociale.

Quelques airs lithophoniques
sous l’aile mélodieuse du didihubermanium
– la danse minéralisée de cette nuit.

Cela faisait déjà des semaines qu’ils passaient leurs journées dans cette citerne sombre et sinistre à courir, en armure et l’épée à la main...

Comme un dimanche, des minutes d’écriture, tentatives de prise sur le temps.

Ce texte est extrait du volume intitulé Le retour de la voix, deuxième de la trilogie Bientôt rois.

Des poèmes qui parlent de navire, de cadeau pour un pied, du corps et d’escargots.

Appels d’air

Avec Ludovic Debeurme. Le confinement a brutalement interrompu les ateliers qui se poursuivaient entre Noisiel et Le Raincy

On lui a raconté qu’avant. il ne sait pas exactement. mais avant. on mettait du désherbant

Suite d’un texte d’Axelle Glaie, poète sonore et musicienne

Nouveau dimanche, nouvelles minutes, des tentatives de prise sur le temps.

Douze portraits élémentaires - courants, reflets, matières - pour fixer un visage.

Création sonore.

Un autre dimanche et des minutes d’écriture, tentatives de prise sur le temps.

Il a décidé qu’il ne se déplacerait plus qu’en courant.

« la Bataille de Dunkerque c’était ça aussi / et les sanglots de mon père »

Le principe ici est de me donner une minute d’écriture et cesser net, y compris si la phrase n’est pas finie. Une tentative de prise sur le temps.

Eric Da Silva à Lilas en Scène (Les Lilas)
... deuxième pièce du puzzle en Portrait pour retracer l’Utopie des vingt ans de Lilas en Scène : arrivée de Marion S.

Comme si le temps pouvait avoir une forme et qu’on pouvait entrer dedans.

Dialogue entre plusieurs, un chaman fait des siennes, c’est aujourd’hui, ici c’est ailleurs.

Il appelait “Angèle, Angèle” – il avait encore égaré ses ciseaux – et Angèle accourait aussitôt, enchantée de ce jeu entre eux deux.

Quand l’écriture se fait écoute, quand l’écoute se fait écriture.

Le principe ici est de me donner une minute d’écriture et cesser net, y compris si la phrase n’est pas finie. Une tentative de prise sur le temps.

Etienne Faure nous entraîne aux confins de l’imaginaire et du rêve pour une traversée poétique du "Miroir" d’Andreï Tarkovski

Deuxième partie d’un texte inédit de Samy Langeraert

Un poème inédit de Pierre Drogi

notations brèves de ce jour

Malgré les cinglants démentis que lui avait infligés la vie jusque-là, elle croyait encore au grand amour...

Quatre pangrammes instiniens globalement inutiles et bousculables à la souris.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Quand un jour égale un poème et que nos doigts en comptent douze

Première partie d’un texte inédit de Samy Langeraert

Il est devant la fenêtre de la cuisine. Encore.

Même en ruine, les bâtiments restent nos maîtres. Vestiges de mondes disparus, ils nous hantent et nous ramènent vers eux.

Ménure superbe (1), par Axelle Glaie

Version d’un texte écrit lors de l’événement Publishing Sphere à Montréal, issu d’un atelier avec artistes et chercheurs

Un périple en Mitteleuropa, là même où l’espace-temps.

En venant la rejoindre dans son immense maison avec vue sur le Tage, il imaginait que leur amour pourrait prendre enfin l’élan nécessaire à un nouvel envol...

texte inédit

C’est une cour fermée. C’est une cour fermée sur les quatre côtés.

Poème nocturne : ce que la nuit fait à la langue.

Sise route de Compostelle, face à la collégiale, à Candes-Saint-Martin...

Il pleut. Il est assis à un bureau avec ses cahiers. ses livres. ses stylos devant lui.

Il est venu dans cette partie de la cuisine pour prendre un torchon. Sans y penser. les torchons sont toujours là.

Lorsqu’il pressentit l’échec inéluctable de l’unité des peuples arabes, Gamal Abdel Nasser préféra se faire passer pour mort.

Il est possible qu’elle n’ait pas tout compris de ce qu’il lui avait annoncé à cause des grésillements sur la ligne...

texte inédit

Lorsqu’il prenait ses quartiers d’été dans sa maison du Pays basque, Cristobal Balenciaga passait ses journées...

extrait de enfin tu regardes l’herbe

Ce n’était pas un grand artiste, mais l’un de ces petits maîtres...

texte inédit, écrit à l’occasion du festival danse et écriture Correspondance Madeleine Viarme, Nantes

Ce texte parle-t-il d’après l’écriture ?
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Poèmes composés par Antoine Bertot, d’après les photographies d’Israël Ariño

Un texte généré d’après les vols et les données météo lues en temps réel à Orly.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Lorsqu’il arrivait au Professeur Eco de devoir passer la nuit à l’hôtel, sa seule exigence était de disposer d’un spacieux cabinet de toilette...

Tout au long de ces années passées à fumer à la terrasse des cafés...

texte inédit

En ville comme un étourneau dans un vol programmé.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Deux textes courts où les mots croisent des sons et des images pour former des visions

Le palais qui abritait le consulat avait été offert à la France dans le but d’apaiser des relations diplomatiques houleuses...

Chaque semaine, elle regardait en intégralité Le Guépard de Luchino Visconti pour y retrouver Alain Delon et l’entretenir de la pureté de ses sentiments...

extrait de enfin tu regardes l’herbe

extrait de enfin tu regardes l’herbe

Un poème chargé d’animaux

Parvenu au faîte de sa gloire, Jean Marais décida de s’enfermer dans sa propriété de Sologne, entouré de ses chiens et de quelques fidèles.

Poèmes inspirés d’Emily Dickinson et de l’Amérique de son époque

De toutes les expériences extravagantes menées jusque-là par le petit Edgar, celle avec le générateur électrique présentait, de loin, le plus de risques.

Écrire avec n° 8, par Frédérique Cosnier

Fiction écrite et codée à partir d’une description de quelques photographies prises au Désordre de Philippe de Jonckheere et à la Catalogne.
Joachim Séné, écrire avec l’algorithme

Poème

Extraits d’un recueil de poèmes

Nous avons lesté ses poches de plomb, retenu ses pieds par des cordes.

Elle n’y arrivait pas – lors de la première prise, elle avait failli se casser une jambe et s’en était sortie miraculeusement avec quelques égratignures –, mais elle persistait à vouloir faire plaisir à Pier Paolo...

Joachim Séné nous offre une lecture non-immobile du livre-performance de Julien Boutonnier, publié chez Publie.net

Deuxième extrait d’un travail en cours

Le patronyme long et zigzaguant comme un dimanche sans fin...

Un texte inédit de Daniel Cabanis

Premier extrait d’un travail en cours

performance pour deux voix, une musique hypnotique, des percussions

Elle avait fini sa vie avec une jambe de bois du fait de la gangrène et une certaine confusion régnait pour établir s’il s’agissait de la gauche ou de la droite...

Texte choisi, présenté et traduit de l’italien par Frédéric Lefebvre

Texte inédit

Suite des textes inédits d’André Rougier

texte inédit (extrait)

Texte inédit

Contribution à la rubrique "Œil pour Œil", littérature et cinéma

Texte inédit

Premiers extraits de textes inédits d’André Rougier

Extrait d’un travail en cours "Il ne faudra plus attendre un train"

Un texte inédit

Deux textes inédits (espagnol/français)

Parution d’un livre de Claude Favre aux éditions Les presses du Réel

Présentation et extrait d’un livre qui vient de paraître aux éditions Les presses du réel

Poèmes de Rasha Omran traduits de l’arabe par Henri jules Julien et Mireille Mikhail.

Extrait d’un livre qui vient de paraître aux éditions Isabelle Sauvage

Un extrait à l’occasion de la parution de [carnets de murs]
( Lanskine, octobre 2018)

Antoine Bertot a publié des textes dans les revues N47 et Contre-Allées.

texte inédit

Un essai qui vient de paraître dans la collection "Le cinéma des poètes" aux Nouvelles éditions Place

« données du réel » est un feuilleton sans ordre (chrono)logique ni lieu préétabli.

Résidence, Maison Julien Gracq / 3

Résidence, Maison Julien Gracq / 2

Lectures sous l’arbre, hommage à Philippe Rahmy.

Résidence, Maison Julien Gracq / 1

Pour la sortie aux éditions Grèges de son recueil, Sangleil, Jean-René Lassalle a confié trois poèmes à remue.net.

Un extrait inédit de "Pages", travail en cours.

Tours [chef-lieu de l’Indre-et-Loire]
France — Ouest
Sur les rives de la Loire et du Cher

texte inédit

Un second extrait d’"aléas" paru en 2007 aux éditions Le bleu du ciel.

En hommage à Christophe Marchand-Kiss, un premier extrait d’"aléas" (Le bleu du ciel, 2007)

je regarde en secret les photos d’une fille

Un texte inédit.

Extraits de Ici Même En Cryptées, quelques piliers d’un nouvel ensemble de Christine Jeanney, à paraître à l’automne 2018 aux éditions Tangerine Nights

Un texte inédit.

mais après des années de lenteur nous débordons vite

création diffusée au CNEAI de Pantin (avril 2018)

Texte inédit.

Extraits d’un livre qui vient de paraître (Eric Pesty Editeur, juin 2018)

Deux chapitres de "2008" qui vient de paraître. Vous êtes invités pour l’écouter et en parler jeudi 28 juin à 19h00 à la librairie La Terrasse de Gutemberg - soirée animée par Philippe Aigrain.

Extraits d’un livre qui vient de paraître (Editions Isabelle Sauvage, mai 2018)

La chanson la suit là où la parole n’arrive pas

Voilà : désormais je peux avouer ce que Jacques Derrida me confiait la tête dans le bac à shampoing.

texte inédit

texte inédit

Texte inédit en français.

Mai 68, vu par.

inédit

Né en 1948 à Maribor, en Slovénie, Drago Jančar est l’auteur d’une oeuvre littéraire majeure. "Et l’amour aussi a besoin de repos", son dernier roman, vient de paraître aux éditions Phébus, traduit par Andrée Lück-Gaye.

Extrait d’un livre qui vient de paraître (Lanskine, avril 2018)

Création sonore diffusée au CNEAI de Pantin (14 avril 2018)

texte inédit

Deuxième partie d’un texte inédit

Présentation et extrait d’un livre qui vient de paraître (Buchet / Chastel, mars 2018)

Une version antérieure de Monarques est mise en scène au Théâtre 2.21 par Sophie Kandaouroff.

Première partie d’un texte inédit

un extrait d’un livre paru aux Editions de l’Atelier de l’Agneau (mars 2018)

Sein, un texte de Ludovic Hary

Texte inédit.

Poème inédit.

3ème épisode du feuilleton Je suis un coucou.

Rapidement, ils ont quitté la route principale pour une traversière au milieu des champs.

Un extrait d’un travail en cours

En hommage à Geneviève Huttin

Un récit en feuilleton d’Anne Luthaud, 2ème épisode.

Deuxième partie d’un texte écrit à quatre mains.

Première partie d’un texte écrit à quatre mains.

un extrait de Raccords Sainte-Victoire (éditions Contre-Pied).

Extraits de la troisième partie : Le Refuge éprouvant

Un récit feuilleton d’Anne Luthaud décliné en 4 épisodes.

En librairie le 16 mars 2018

Extraits de la deuxième partie : Issu du creuset

Troisième extrait d’un texte resté inédit

Deuxième texte inédit

Rencontre de deux écrivains avec une ville et son histoire.

Un extrait du roman Chaos, de Mathieu Brosseau, à découvrir.

Deuxième extrait d’un texte inédit

Première partie d’un texte resté inédit

un texte inédit

la musique est ainsi

Extraits de la première partie : Scruter le noir

Un poème de fin d’année

J’arrive il faut partir

[...] mes doigts écartés au hasard de leurs danses déchirent doucement de nouveaux espaces [...]

Un extrait de Kaspar de pierre (La lettre volée, novembre 2017)

Un extrait sonore à partir de neuf titres enregistrés et un livret.

une nouvelle vidéo de Laura Vasquez

petite araignée, cours te cacher

Journal de rentrée, en Catastrophe (making-of de l’essai paru chez Pauvert (septembre 2017))

Une lettre à Philippe Rahmy.

Une page de Monarques, récit paru cet automne (La Table Ronde).

je marchais dans la ville, traînant la jambe avec peine au-dessus de tous les autres, à la recherche de ce qui pouvait encore respirer

rentrée littéraire 2017, conte cruel inédit

Journal d’été, en Catastrophe (présentation par Guénaël Boutouillet et making-of de l’essai paru chez Pauvert (septembre 2017))

Poème inédit de Pierre Drogi

Belles pages de Les désordres du monde. Walter Benjamin à Port-Bou (éditions Pauvert).

Pour ouvrir toutes les portes, c’est facile, c’est magique, il suffit de dire « bonjour ».

"Poésie et film" : une première contribution de Vincent Broqua

Un premier extrait d’un livre à paraître Kaspar de pierre (Editions La lettre volée, novembre 2017)

Petits éclats de la Palestine, enfants qui jouent, odeurs, politiques.

Troisième extrait d’un ensemble inédit L’avant-garde, tête brûlée, pavillon noir

jamais autant de piqûres de moustiques

Un texte inédit de Justin Delareux (écrit en septembre 2016).

de ces rayons naturels / elles ont fait une arme

Un extrait d’un ensemble inédit L’avant-garde, tête brûlée, pavillon noir

Un extrait d’un ensemble inédit L’avant-garde, tête brûlée, pavillon noir

Un peu de clarté dans le regard et un peu de bonté dans le monde, je ne demande pas mieux,

Texte inédit.

Tout d’un coup je réalise que c’est plutôt une ambiance de polar.

Extrait d’un travail en cours lu lors de la Rencontre Remue
à la Maison de la Poésie de Paris (juin 2017)

est-ce que je t’aime encore
semble hennir le cheval

C’est là que mon oncle est apparu.

En hommage à Joseph Julien Guglielmi. Ce poème est une "archive sonore" écrite à la suite d’une performance d’improvisation de Jo, à l’initiative de l’artiste Anne Slacik, et dans son atelier.

"on a l’air vraiment très sérieux avec une cagoule sur la tête, vraiment un air de professionnel, et moi ça j’adore, même au milieu de nulle part, même dans une forêt, garder un aspect professionnel et sérieux"

Quand la mer sera vidée elle sera creuse avec des trous et on verra dedans comment c’est vert avec des algues 

Tout a commencé à Minsk, Ce sont des matériaux pour faire des histoires : photos, dessins, phrases. Ce sont peut-être de restes d’histoires en réalité. Arrivent-ils trop tôt ou trop tard ?

Un extrait d’Au coeur du coeur de l’écrin (Editions Lanskine, mai 2017)

Extrait d’un ensemble en cours Filmage

Un extrait d’un livre à paraître Esthétique de la noyade (éditions Plaine Page, 2017)

Extrait du dernier livre de Jean-Philippe Cazier (Ediitons Al Dante)

Extrait d’un travail en cours.

Extrait d’un travail en cours

Et donc, si écrire n’est pas un métier, alors en ce qui me concerne autant décliner la question sur un autre mode : écrire me procure-t-il encore du plaisir ?

À entendre à l’IMA le dimanche 7 mai à 15h30 dans le cadre de « L’Atelier, les littératures arabes en mouvement ».

Inédit, d’un travail en cours

Poème traduit de l’arabe (Égypte) par Marianne Babut pour les éditions Alidades.

Nouvelle en cours d’écriture

Extrait d’un ensemble inédit accompagné de sa "Princesse intertextuée"

(peut-être dirait-elle "Madame W : "ne soyez pas sotte, ne prétendez rien,"

"Ce que je voudrais, mes enfants, c’est…" J.B.

emportant la voix parmi nous

Objectivement, pourquoi tout le monde s’en sortirait ?

le petit oiseau mélancolique de la petite Betty qui rebondit sans cesse sur le dos

Le sol est jonché de sang rose, le sang souille ses pieds

Traduit de l’italien par Philippe Di Meo.

Série de vidéos de Laura Vazquez & Simon Allonneau

nos rêves légifèrent à tout va

Inclusion

Parution aux éditions LansKine, mars 2017, collection Poéfilm.

d’où vient cette pesanteur

Un extrait de Glissements (Lanskine, juin 2017).

roman inédit, extrait.

Extrait d’un texte inédit Le pas-comme-si des choses, 2017

découvrir par hasard quelque chose ou des choses
qu’on ne cherchait pas

Série de vidéos de Laura Vazquez & Simon Allonneau

Six poèmes d’un travail en cours (abandonné).

Mon corps une biche

Un livre à paraître aux éditions Le Bateau Ivre

Poème.

Une semaine de 2007 du Journal de la crise de 2006, 2007, 2008, d’avant et d’après (éditions publie.net).

Poème d’une jeune écrivaine égyptienne traduit de l’anglais par Henri Jules Julien.

Le rêve a pris la rue, le soleil tombe jusque dans les impasses

On dit que je suis invisible dans mes plumes.

Extrait d’un travail en cours

la coulée douce

On ne voit rien dans l’arbre qui s’ébroue

Troisième et dernière partie de la nouvelle de Laurence Werner David

on voyait à travers comme aux frontières
dans les yeux reconduits, à vol d’avion
pas si loin que ça

"Une histoire à ne pas conter. Dédiée à Ozu qui, comme ici Kiarostami, la rendit désirable de l’isoler dans un haiku." J.S.

comme l’affirme eric quand je cuisine une carotte je deviens une carotte

Poète, sérigraphe, traducteur, Rodolphe Gauthier conçoit des livres-objets...

Parution aux éditions LansKine, octobre 2016.

Journal d’écriture du livre de Thomas Giraud par son auteur, à paraître en octobre à La Contre-allée

"Je comprends aujourd’hui que sous couvert d’une petite provocation, j’ai voulu la guider de force jusqu’au monde où je vis." J.B.

Une traduction de Pierre Drogi.

Le chat peut s’endormir dans le vacarme.

Journal d’écriture du livre de Thomas Giraud par son auteur, à paraître en octobre à La Contre-allée

Oh zut, mon cœur s’emballe

je suis pêcheur et garçon de ferme, / et mes tout premiers pas / sur le bateau du Nord
m’ont fait / fugitif / et enfant prodigue / sous la même peau.

Poème inédit.

"[...] il est écrit Frontex, certains se doutent peut-être déjà vaguement de ce qui les attend" M.S.

Et l’oncle augmente le volume de la télévision

Performance poétique de Patrick Beurard-Valdoye lors d’une soirée hommage à Jean-Paul Dadelsen à la Maison de la poésie de Paris en 2016

Deuxième épisode de la nouvelle "Soleil entier", de Laurence Werner David

Philippe Rahmy publie à La Table Ronde Allegra, qui vient d’obtenir le Prix Rambert.

"L´Allemagne enterre sa politique d’asile. Assemblés en assemblée, les autres pays de la forteresse hochent de la tête et balancent de la terre." M.S.

Et l’on s’en ira avec la certitude de revenir

"dans la diagonale désormais déserte" S.K.

où s’accrochent des figuiers, des jujubiers, des oliviers sauvages

La poésie dit ce qu’elle dit en le disant.

si bien que tous les styles et toutes les époques cohabitent dans cette Casa mosaïque

Nouvelle extraite du recueil Flora & les sept garçons.

on aperçoit bientôt Tanger – la médina est une tache argentée qui se blottit dans sa baie

On entendait les anges, le son des animaux, le mouvement d’un nuage, des repas, des cocktails, des soirées, c’était le matin et le soir.

"Il n’y a pas de parent, la génération au-dessus est aux abonnés absents."

à travers cette absence de langue qui irrite si fort

l’air idiot du même oiseau qui picore les salicornes

Une nouvelle en feuilleton de Laurence Werner David, 1er épisode

Et je pourrais rester ici des heures

"on m’a mise dans la maison des rêves / mais ce n’était pas le bon moment"

alors il faudra remonter les ruelles

« Ceux qui disaient que l´immigration c´est un virus, une bactérie, maintenant, c´est eux qu´on écoute. » M.S.

ici un tas de mots manquent

Extrait d’un travail en cours

prends-toi par la main : ne change plus