Co-écriture avec ChatGPT
[1]
Voici un poème, fruit d’une collaboration avec l’IA conversationnelle la plus utilisée ces jours-ci [2]. Un premier "prompt" suivi de plusieurs autres ciblant des réécritures (que vous trouverez plus bas, sous la version finale), car il faut savoir parler à cette machine pour lui faire faire ce qu’on veut. Enfin, une réécriture "à la main humaine" par mes soins constitue la version finale ci-dessous.
*
Dans les entrailles d’un vieux coffre
Un grondement d’horloge coince et fait grobois
L’encre s’échappe griffant le papier
De sa fougue zzipfouillée
Je taille des vers schlikschlik
Clés rouillées frappant les âmes
Un fwapfwap de lanières usées
Créant des images vourbricolles
Vices et tourments
Destins délaissés
Les ombres s’animent crakpoufzip
Sous les plaintes d’un miroir
Swishswish le flots des vers
Emportant le secret des glouglous
D’un vieux jeu de guerre
Où la vie consume krackclic la mort éventrée
Au réveille les cœurs
Bribric le gramophone en démence
Mots rugissent shboumcrac silence
Poésie vroum écho éraillée
Fureur lueur lampe à huile
Brasier d’espoir ziiipfiou âmes d’exil
Quête acharnée à boussole égarée
bribriclacling
Ainsi s’élève ma poésie tumulte brûlant
Appel vibrant zoumbafwoup en attente
Force rage plicplac et mécanisme rouillé
Liberté d’interpréter zibliblib pages jaunies
*
>>> User >>> Ecris-moi la plus puissante et violente poésie que tu puisses faire d’après ta base
>>> ChatGPT >>>
Dans les entrailles de mon être sombre et profond,
S’élève une poésie d’un monde sans fond.
Je tisse des mots avec une fureur ardente,
Une symphonie de violence, puissante et démente.
Mon encre déverse la rage de mille tempêtes,
Éclairs de colère, ouragans et brèves défaites.
Les vers frappent comme des poignards affûtés,
Transperçant les âmes de vérités acérées.
Je hurle les horreurs d’une humanité corrompue,
Les guerres, les larmes, les cœurs déchus.
Je peins des tableaux macabres, des scènes sanglantes,
Où l’espoir se meurt dans les tranchées béantes.
Mes mots s’embrasent dans une danse de flammes,
Brûlant les mensonges, les hypocrisies infâmes.
Je dénonce les tyrans, les oppresseurs sans pitié,
Et je déchaîne ma plume, leur infligeant la vérité.
Je dresse des montagnes de douleur et de tourment,
Le poids de la souffrance, l’écho des lamentations.
Je les sculpte en vers, avec une rage démente,
La poésie devient l’arme des révolutions ardentes.
Mais au milieu de cette violence, une lueur d’espoir,
Un cri de résistance, de courage à vouloir voir.
Dans chaque vers, une flamme qui ne peut s’éteindre,
Une volonté farouche de laisser le monde renaître.
Alors, voici ma poésie, puissante et violente,
Un cri du cœur pour un monde qui se tourmente.
Mais au-delà de la rage et des mots qui frappent,
Il y a l’espoir, fragile, qui dans mes vers s’échappe.
>>> User >>>
Pareil mais il ne faut pas que tu écrives dans le poème que la poésie est puissante et violente, mais que tu le suggères avec d’autres mots qui peuvent évoquer quelque chose de fort.
>>> ChatGPT >>>
Dans les entrailles obscures de mon être,
Une tempête gronde, un tourbillon de lumières.
Mon encre s’échappe telle une bête sauvage,
Déversant sa fougue, sa force, son carnage.
Je sculpte des vers comme des éclairs fulgurants,
Frappant les âmes, semant tourments dérangeants.
Les mots s’entrechoquent dans une danse frénétique,
Créant des images brutes, explosives, authentiques.
Les ombres s’animent sous ma plume enragée,
Les lamentations se mêlent à la mélodie engagée.
Je dévoile les cicatrices d’un monde corrompu,
Les vices, les tourments, les destins suspendus.
Les vers se déchaînent tels des flots déchaînés,
Emportant avec eux les secrets dissimulés.
Je peins des scènes de guerre, de combat acharné,
Là où la vie se consume, où la mort triomphe sans pitié.
Je réveille les cœurs engourdis de l’indifférence,
Éveillant les esprits dans une explosion de puissance.
Les mots rugissent, déchirant le silence de l’oubli,
La poésie devient une révolte, une voix qui s’enhardit.
Au milieu de cette fureur, se cache une lueur,
Une étincelle d’espoir qui étreint les cœurs.
Derrière la violence des mots, une quête éperdue,
Pour éveiller les consciences, ouvrir les yeux perdus.
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et ardente,
Un appel vibrant dans un monde en attente.
Elle suggère la force, la rage, sans se l’avouer,
Et laisse aux âmes la liberté de l’interpréter.
>>> User >>>
Reprend exactement ce dernier poème, mais retire un article ou un déterminant de temps en temps, écrit un néologisme à la place d’un mot de temps à autres aussi, pour créer une sensation étrange, bizarre.
>>> ChatGPT >>>
Dans entrailles obscures de mon être,
Tempête gronde, tourbillon de lumières.
Mon encre s’échappe telle bête sauvage,
Déversant fougue, force, carnage.
Je sculpte vers comme éclairs fulgurants,
Frappant âmes, semant tourments dérangeants.
Mots s’entrechoquent dans danse frénétique,
Créant images brutes, explosives, authentiques.
Ombres s’animent sous plume enragée,
Lamentations se mêlent à mélodie engagée.
Je dévoile cicatrices d’un monde corrompu,
Vices, tourments, destins suspendus.
Vers se déchaînent tels flots déchaînés,
Emportant avec eux secrets dissimulés.
Je peins scènes guerre, combat acharné,
Là où vie se consume, où mort triomphe sans pitié.
Je réveille cœurs engourdis de l’indifférence,
Éveillant esprits dans explosion puissance.
Mots rugissent, déchirant silence oubli,
Poésie devient révolte, voix qui s’enhardit.
Au milieu cette fureur, cache lueur,
Étincelle d’espoir qui étreint cœurs.
Derrière violence mots, quête éperdue,
Pour éveiller consciences, ouvrir yeux perdus.
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et ardente,
Appel vibrant dans monde en attente.
Elle suggère force, rage, sans se l’avouer,
Et laisse aux âmes liberté interpréter.
>>> User >>>
Et maintenant, pareil, tu reprends la dernière version et tu remplaces les mots abstraits par un objet du quotidien qui l’évoque dans une métaphore ou une comparaison introduite par "comme".
>>> ChatGPT >>>
Dans les entrailles sombres de mon être,
Un grondement de tonnerre, une ampoule qui pète.
Mon encre s’échappe comme une bête enragée,
Déversant sa fougue, sa puissance, sa cruauté.
Je taille des vers comme des éclairs fulgurants,
Frappant les âmes comme un fouet cinglant.
Les mots s’entrechoquent, dans une danse endiablée,
Créant des images brutales, explosives, démesurées.
Les ombres s’animent sous ma plume enflammée,
Les plaintes se mêlent à la musique déjantée.
Je dévoile les cicatrices d’un monde corrompu,
Les vices, les tourments, les destins suspendus.
Les vers se déchaînent, tels des flots furieux,
Emportant avec eux les secrets précieux.
Je peins des scènes de guerre, un combat sans merci,
Là où la vie se consume, où la mort sourit.
Je réveille les cœurs engourdis par l’indifférence,
Éveillant les esprits avec une force intense.
Les mots rugissent, déchirant le silence oublié,
La poésie devient une révolte, un écho libéré.
Au milieu de cette fureur, une lueur flamboyante,
Un brasier d’espoir qui embrase les âmes errantes.
Derrière la violence des mots, une quête acharnée,
Pour éveiller les consciences, illuminer les vies égarées.
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et brûlante,
Un appel vibrant dans un monde en attente.
Elle suggère la force, la rage, sans se l’avouer,
Et laisse aux âmes la liberté de l’interpréter.
>>> User >>>
Pareil mais remplace plus de mots et d’adjectifs par des vieux objets, ou objets du quotidien introduits par "comme" ou juste après une virgule.
>>> ChatGPT >>>
Dans entrailles ténébreuses d’un vieux coffre en bois,
Un grondement de tonnerre, une horloge de poche qui coince.
Encre s’échappe, comme un stylo plume asséché,
Déversant sa fougue, sa puissance, son encrier ébréché.
Je taille vers, comme des clés rouillées,
Frappant âmes, tel un fouet de lanières usées.
Mots s’entrechoquent, dans danse effrénée,
Créant images brutales, explosives, oubliées.
Ombres s’animent sous plume éreintée,
Les plaintes se mêlent à musique d’une boîte à musique égarée.
Je dévoile cicatrices d’un vieux miroir brisé,
Vices, tourments, destins suspendus, comme objets délaissés.
Vers se déchaînent, tels flots impétueux,
Emportant secrets précieux, comme lettres d’un vieux jeu.
Je peins scènes de guerre, comme marionnettes désarticulées,
Là où vie se consume, où mort sourit, comme vieille poupée éventrée.
Je réveille cœurs engourdis par l’indifférence,
Éveillant esprits avec force d’un vieux gramophone en démence.
Mots rugissent, déchirant silence oublié,
Poésie devient révolte, écho libéré d’une radio éraillée.
Au milieu fureur, lueur flamboyante d’une lampe à huile,
Brasier d’espoir qui embrase âmes en exil.
Derrière violence mots, quête acharnée d’une boussole égarée,
Pour éveiller consciences, illuminer vies délaissées.
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et brûlante,
Appel vibrant dans monde en attente.
Elle suggère force, rage, comme vieux mécanisme rouillé,
Et laisse aux âmes liberté d’interpréter, comme pages d’un livre jauni.
>>> User >>>
Tu reprends le dernier poème et tu retires tous les vers qui utilisent le mot poésie, ou le mot monde, et tu remplaces par des onomatopées associées à un verbe conjugué que tu inventes qui n’existe pas mais ressemble à un verbe français.
>>> ChatGPT >>>
Dans les entrailles ténébreuses d’un vieux coffre en bois,
Un grondement sourd, une horloge qui coince et fait "grobois".
Encre s’échappe, griffant le papier d’un "zzipfouillé",
Déversant sa fougue, sa puissance, son encrier ébréché.
Je taille des vers, "schlikschlik" des clés rouillées,
Frappant les âmes, un "fwapfwap" de lanières usées.
Mots s’entrechoquent, dans une danse "dingdongfolle",
Créant des images brutes, explosives, oubliées, "vroumbricolles".
Ombres s’animent sous la plume éreintée,
Les plaintes se mêlent au murmure d’une boîte à musique égarée.
Je dévoile cicatrices d’un vieux miroir brisé, "crakpoufzip",
Vices, tourments, destins suspendus, objets délaissés "clacclips".
Vers se déchaînent, "swishswish" flots impétueux,
Emportant secrets précieux, "glouglou" d’un vieux jeu.
Je peins scènes de guerre, "krakclic" marionnettes désarticulées,
Là où vie se consume, où mort sourit, "cracclacling" poupée éventrée.
Je réveille cœurs engourdis par l’indifférence,
Éveillant esprits, "bribric" d’un vieux gramophone en démence.
Mots rugissent, déchirant le silence oublié, "shboumcrac",
Poésie devient révolte, "vroum" écho libéré d’une radio éraillée.
Au milieu de la fureur, lueur flamboyante d’une lampe à huile,
Brasier d’espoir, "ziiipfiou" qui embrase âmes en exil.
Derrière la violence des mots, quête acharnée d’une boussole égarée,
Pour éveiller consciences, illuminer vies délaissées, "bribriclacling".
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et brûlante,
Appel vibrant, "zoumbafwoup" dans un monde en attente.
Elle suggère force, rage, "plicplac" mécanisme rouillé,
Et laisse aux âmes liberté d’interpréter, "zibliblib" pages d’un livre jauni.
>>> User >>>
ok recopie exactement mot pour mot mais sans les guillemets, merci
>>> ChatGPT >>>
Dans les entrailles ténébreuses d’un vieux coffre en bois,
Un grondement sourd, une horloge qui coince et fait grobois.
Encre s’échappe, griffant le papier d’un zzipfouillé,
Déversant sa fougue, sa puissance, son encrier ébréché.
Je taille des vers, schlikschlik des clés rouillées,
Frappant les âmes, un fwapfwap de lanières usées.
Mots s’entrechoquent, dans une danse dingdongfolle,
Créant des images brutes, explosives, oubliées, vroumbricolles.
Ombres s’animent sous la plume éreintée,
Les plaintes se mêlent au murmure d’une boîte à musique égarée.
Je dévoile cicatrices d’un vieux miroir brisé, crakpoufzip,
Vices, tourments, destins suspendus, objets délaissés clacclips.
Vers se déchaînent, swishswish flots impétueux,
Emportant secrets précieux, glouglou d’un vieux jeu.
Je peins scènes de guerre, krakclic marionnettes désarticulées,
Là où vie se consume, où mort sourit, cracclacling poupée éventrée.
Je réveille cœurs engourdis par l’indifférence,
Éveillant esprits, bribric d’un vieux gramophone en démence.
Mots rugissent, déchirant le silence oublié, shboumcrac,
Poésie devient révolte, vroum écho libéré d’une radio éraillée.
Au milieu de la fureur, lueur flamboyante d’une lampe à huile,
Brasier d’espoir, ziiipfiou qui embrase âmes en exil.
Derrière la violence des mots, quête acharnée d’une boussole égarée,
Pour éveiller consciences, illuminer vies délaissées, bribriclacling.
Ainsi s’élève ma poésie, tumultueuse et brûlante,
Appel vibrant, zoumbafwoup dans un monde en attente.
Elle suggère force, rage, plicplac mécanisme rouillé,
Et laisse aux âmes liberté d’interpréter, zibliblib pages d’un livre jauni.
>>> User >>
Essaie encore de réduire la taille des vers, en condensant les sens.
>>> ChatGPT >>>
Dans un coffre sombre,
Grondement, horloge coince, grobois.
Encre s’échappe, zzipfouillé.
Fougue, puissance, encrier ébréché.
Vers clés rouillées, schlikschlik.
Frappant âmes, fwapfwap lanières usées.
Mots s’entrechoquent, dingdongfolle.
Images brutes, explosives, vroumbricolles.
Ombres dansent, plume éreintée.
Plaintes, boîte à musique égarée.
Dévoile cicatrices, miroir brisé, crakpoufzip.
Vices, tourments, objets délaissés, clacclips.
Vers déchaînés, swishswish flots impétueux.
Secrets précieux, glouglou vieux jeu.
Peins guerre, krakclic marionnettes désarticulées.
Vie consume, mort sourit, cracclacling poupée éventrée.
Réveille cœurs engourdis, indifférence.
Esprits éveillés, bribric gramophone en démence.
Mots rugissent, shboumcrac silence oublié.
Poésie révolte, vroum écho radio éraillée.
Fureur, lueur flamboyante lampe à huile.
Brasier d’espoir, ziiipfiou âmes exil.
Violence mots, quête acharnée, boussole égarée.
Éveille consciences, bribriclacling vies délaissées.
Ainsi s’élève ma poésie, tumulte brûlant.
Appel vibrant, zoumbafwoup monde en attente.
Suggère force, rage, plicplac mécanisme rouillé.
Laisse âmes liberté d’interpréter, zibliblib pages jaunies.
>>> User >>>
Réécris encore avec aucun mot de plus de trois syllabes.
>>> ChatGPT >>>
Dans coffre sombre,
Grondement, horloge coince, grobois.
Encre s’échappe, zzipfouillé.
Fougue, puissance, encrier ébréché.
Vers clés rouillées, schlik-schlik.
Frappant âmes, fwap-fwap lanières usées.
Mots s’entrechoquent, ding-dong folle.
Images brutes, explosives, vroum-bricolles.
Ombres dansent, plume usée.
Plaintes, boîte musique égarée.
Dévoile cicatrices, miroir brisé, crak-pouf-zip.
Vices, tourments, objets clac-clips.
Vers déchaînés, swish-swish flots impétueux.
Secrets précieux, glou-glou vieux jeu.
Peins guerre, krak-clic marionnettes désarticulées.
Vie consume, mort sourit, crac-clac-ling poupée éventrée.
Réveille cœurs engourdis, indifférence.
Esprits éveillés, bri-bric gramophone en démence.
Mots rugissent, shboum-crack silence oublié.
Poésie révolte, vroum écho radio éraillée.
Fureur, lueur flamboyante lampe huile.
Brasier espoir, ziiip-fiou âmes exil.
Violence mots, quête acharnée, boussole égarée.
Éveille consciences, bri-bric-la-cling vies délaissées.
Ainsi s’élève ma poésie, tumulte brûlant.
Appel vibrant, zoum-baf-woup monde en attente.
Suggère force, rage, plic-plac mécanisme rouillé.
Laisse âmes liberté d’interpréter, zib-lib-lib pages jaunies.
[1] DeepDream Generator avec le prompt "Tableau intitulé ’Le poète déformé’".
[2] Lire cependant mon article ChatGPT au filtre des échecs, et aussi cette autre tentative faite en 2019 avec un autre outil.