dossier Jean-Paul Goux

Jean-Paul Goux, né en 1948, a depuis Le montreur d’ombres jusqu’à L’Embardée, donné une oeuvre singulière dans laquelle il défend et illustre une esthétique du continu que soutiennent ses essais.

Œuvrant contre le temps, avec le temps, et dans le temps, Jean-Paul Goux a aussi recueilli la mémoire ouvrière du pays de Monbéliard.

Les Hautes Falaises, de Jean-Paul Goux

Compte rendu par Cathie Barreau.

Jean-Paul Goux et le triomphe du temps, par Christine Lecerf

un entretien avec Jean-Paul Goux.

L’embardée, quartiers d’hiver

une chronique du roman de Jean-Paul Goux dans la revue Europe, par Annie Clément-Perrier.

L’art du continu

Un entretien de Jean-Paul Goux avec Annie Clément-Perrier, Europe n° 854-855, juin-juillet 2000.

Le roman comme art despotique

in La Voix sans repos, une suite d’essais sur la prose, par Jean-Paul Goux

Le sortilège de la réversibilité du temps

Les Eaux étroites de Julien Gracq / étude par Jean-Paul Goux

La maison forte

L’art de la prose selon Jean-Paul Goux :
en hommage et pure incitation, le début de son roman "La maison forte"

Jean-Paul Goux
lyrique et singulier

Au Banquet du Livre (Lagrasse) , en 1997, François Bon rend hommage à Jean-Paul Goux

Outrageusement littéraire

Une étude sur le travail littéraire de Jean-Paul Goux par François Bon (texte publié dans la revue Recueil en 1994)

Argol et Maldoror
Quelques propriétés des objets aimés.

Un texte essentiel de Jean-Paul Goux donné à la revue Théodore Balmoral (Orléans), printemps-été 1997.

A partir des Jardins de Morgante

Une étude de l’oeuvre de Jean-Paul Goux par Annie Clément-Perrier

Au commencement, un jardin

A partir des Jardins de Morgante, une étude dense et particulièrement fouillée de l’oeuvre de Jean-Paul Goux par Annie Clément-Perrier.

"Mon cerveau est un palimpseste et le vôtre aussi, lecteur"

A partir des Jardins de Morgante (II)

"Que l’oeuvre soit comme le Temps, un mouvement d’épaisseur infinie..."

A partir des Jardins de Morgante (III)