Eric Da Silva à Lilas en Scène (Les Lilas, 93)
Eric Da Silva est comeÌ dien, metteur en sceÌ€ne, eÌ crivain.
Il nourrit un projet d’eÌ criture provisoirement intituleÌ UP ! sur l’identiteÌ feÌ minine et le deÌ sarroi masculin, le genre, la pariteÌ amoureuse homme-femme dans notre monde social, pornographique, mondialiseÌ .
Il était en résidence au lycée Auguste-Renoir d’Asnières-sur-Seine en 2012.
Bibliographie
Il eÌ crit et joue ses propres textes. Sa dernieÌ€re pieÌ€ce ENTROPIE chroniques parisiennes se situe aÌ€ Paris en 2017 où trois amis, compagnons de theÌ aÌ‚tre - un auteur, un acteur et un producteur qui se sont trouveÌ s « pris  » ensemble dans l’explosion d’un attentat - se preÌ sentent dans ce qu’ils croient eÌ‚tre un lieu de repreÌ sentation, une salle de spectacle. Ils commencent aÌ€
raconter la ville, le monde, les gens par le prisme de l’eÌ veÌ€nement subi...
Ses pieÌ€ces publieÌ es aux eÌ ditions esse que : Esse que quelqu’un sait ouÌ€ on peut baiser ce soir ? J’ai reÌ pondu au bois, Je deviens JIMI HENDRIX, BONJOUR MONSTRE le cri de Rosa Parks, ENTROPIE chroniques parisiennes.
Son projet de résidence
AÌ€ partir d’entretiens reÌ aliseÌ s comme des interviews, EÌ ric Da Silva composera dans une langue narrative et rythmique qu’il nomme 2voix 2j(eux)e, une vingtaine de portraits Utopiques, de personnaliteÌ s, d’artistes historiques et repreÌ sentatifs depuis la creÌ ation de Lilas en SceÌ€ne, jusqu’aÌ€ nos jours.
« EÌ crire comme on s’emballe, pour un tout, pour un rien comme on devient en dehors du sens des mots au milieu des instantaneÌ s de meÌ moire, de reÌ cits veÌ cus, emprunteÌ s ou pas, sans choisir entre les variantes de chaque expressions, les diverses lectures d’une meÌ‚me reÌ plique — la parole manqueÌ e qu’on ne s’attendait pas aÌ€ entendre, qu’on ne connaissait pas, qu’on ne s’eÌ tait jamais dite, qu’on avait jamais dite — qu’on n’eÌ tait pas capable d’imaginer. »
La structure d’accueil, Lilas en Scène, « lieu de fabrique, lieu d’échange, lieu du possible  », est un espace qui accueille une trentaine de compagnies de théâtre par an.