Claude Esteban, un salut
Quelqu’un crie
que tout est noir,
mais c’est dans sa tête
qu’il se cogne
En hommage à Claude Esteban et sa silhouette familière, lire, relire.
– Le jour à peine écrit (1967-2002), aux éditions Gallimard, qui ne se présente pas sous la forme d’une anthologie de poèmes épars : le rassemblement proposé cherche à rendre compte, par de longues séquences, d’une trajectoire d’écriture qui se manifeste et se confirme à travers quatre livres majeurs de Claude Esteban, écrits entre 1967 et 1992 : Terres, travaux du cœur, Le Nom et la Demeure, Elégie de la mort violente, Quelqu’un commence à parler dans une chambre.
– entretien avec Benoît Conort et Laure Helms, sur le site Maulpoix, puisque voilà à quelle fraternité sert Internet.
– chez Verdier, L’ordre donné à la nuit
– biobibliographie sur site Printemps des poètes
– en anglais sur poetry international
– sur poezibao
– une large part de l’oeuvre de Claude Esteban a été publiée par Jean-Pierre Boyer aux éditions Fourbis, devenues farrago, dernière parution : Ce qui retourne au silence
– il a aussi été traducteur d’Octavio Paz ou Quevedo