le 26 janvier 1855 : Nerval...
information transmise par Corinne Bayle
quelques liens Nerval (et l’article de Marcel Proust sur Gérard de Nerval)
Il y a 150 ans, rue de la vieille
Lanterne (exactement à l’emplacement du trou du souffleur du théâtre
Sarah Bernhardt, paraît-il), on retrouvait mort Gérard de Nerval, au
matin glacé du 26 janvier 1855. Le vieux Docteur Labrunie, quand les
amis de son fils (Gautier, Houssaye) le prévinrent, s’exclama
seulement : "Pauvre jeune homme !..."
Ce samedi 29 janvier, à Saint-Germain-en-Laye, où le poète passa une
partie de son enfance et où il revint souvent se ressourcer à l’ombre
du château, une journée lui sera consacrée. Elle sera l’occasion aussi de
rappeler la mémoire de Claude Pichois, son plus fidèle exégète, qui
devait la présider.
Le programme est le suivant :
– Michel Brix (Namur) : la fantaisie de Nerval
– Corinne Bayle (Brest) : "Châteaux de Chimère"
– Gabrielle Chamarat (Paris-X) : "Les arabesques de l’ironie nervalienne"
– Hisashi Mizuno (Kobé) : "Le vrai ou la vérité ? Nerval et le réalisme"
– Michel de Maulne (Paris) : "Une lecture de Nerval"
– Henri Bonnet (Bourg-en-Bresse) : "Le bonheur dans la maison selon
Nerval"
– Jacques Bony (Paris-XII) : "Nerval et Dumas"
Les conférences ont lie, de 10h à 12 h30 et de 14h 30 à 18 h à l’hôtel
de ville de Saint-Germain, salle Michel Péricard