Alors moi le jeudi j’amenais le repas de mon père en vélo.
C’était quand même un travail difficile.
Tous les ans, j’offrais à mon père un petit calepin sur lequel il mettait tout ce qu’il faisait le nombre de bordures le nombre de pavés.
Extraits de témoignages de descendants de carriers, collectés depuis plus de deux ans par le Parc Naturel Régional du Gâtinais Français. Des témoignages continuent à être recueillis, et j’y assiste avec beaucoup d’attention, durant la résidence d’auteure.