Créations confinées

Une poéthèque vidéo, sorte de chant des sirènes àvisée thérapeutique, créée par Séverine Daucourt au cours de la période de confinement dans le cadre de sa résidence au Cerep Phymentin (hôpital de jour pour adolescents, Paris 14), avec la participation de 67 auteurs

C’est précisément le caractère anodin des bruits, du pépiement des oiseaux et des bribes de conversations, des voix qui résonnent dans des rues vides, qui fait signe vers le drame sanitaire et social

Bien avant le déploiement du covid-19 qui impose au monde le confinement, les forces de l’ordre migratoire travaillait àcouper la veine nomade de certains peuples.

un poème vidéo pour la consolation, interprétation Mallory Patte-Serrano

un texte en guise d’hommage àune rencontre avortée avec Emanuele Coccia

"Quoi que tu fasses, fais autre chose." Robert Filliou

 : Ce soir-là, un mot d’ordre avait été lancé,
pas tout àfait comme les autres — l’ordre disait que chacun chez soi et jusqu’ànouvel ordre, devait se confiner toute affaire cessante.

Cellules : c’était le titre de mon projet d’écriture. Ça tombe bien, en ces temps de confinement et de distanciation sociale.

Depuis le confinement, un journal de résidence qui bascule dans une autre dimension

Une vidéo musicale avec Ludovic Debeurme. Le confinement a brutalement interrompu les ateliers qui se poursuivaient entre Noisiel et Le Raincy

Appels d’air

Isabelle Jarry a résolu de poursuivre sa chronique au musée d’Archéologie nationale, "non pas comme si de rien n’était, mais parce que nous avons plus que jamais besoin de perspectives autres que celles des bulletins d’information sur la grande épidémie, besoin aussi d’évasion, dans le temps comme dans l’espace"

une conférence sur l’histoire de la photographie, annulée mais reprise en texte et même prolongée àaujourd’hui

Rêves d’appartement, confiner l’infini.Retour ligne automatique
Dehors, la ville de maximum une heure, le ciel d’un kilomètre.

une chanson, "Répondez par oui ou par non", d’après Christophe Miossec inspiré par Sophie Calle et Grégoire Bouillier