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Des carmélites guillotinées, un homme marchant sur une route de campagne avant de disparaître dans ses rêves, un jeune homme devenu, après son suicide, le spectateur du monde qu’il vient de quitter, de vieilles personnes accompagnées dans leur fin de vie, des poètes défunts à qui l’on rend hommage : le Remue d’avril est peuplé de fantômes. Et quoi de plus tangible pour dire cet impalpable frontière en clair-obscur entre présence et absence que les mots ?