En octobre, comme souvent sur Remue, on n’a rien fait d’autre que de parler du monde. Celui qu’on voit, celui qu’on vit, celui qu’on pleure. Celui dont on entend parler, celui qu’on dit. Ou celui qu’on voudrait, plus simplement. Alors on l’écrit ; "c’est dire l’état de notre époque", philosophe le patron du bar dans le texte de Benoît Artige.