Comment on freine et Tableaux de Weil, de Violaine Schwartz

« En nous centrant toute l’année sur le vêtement, à travers des prismes différents, il me semble qu’on peut embrasser quantité de sujets. On interrogera des réalités concrètes, intimes, comme l’histoire du blue-jean qu’il porte ce jour-là, par exemple. D’où vient-il ? Dans quelles conditions a-t-il été fabriqué ? S’en soucient-t-ils ? Si oui, pourquoi ? Et si non, pourquoi ? Quelle est l’image de la beauté pour eux ? De la mode ? (,...) », explique Violaine Schwartz à propos de ce projet de résidence dans cette belle note d’intention, Comment on repasse une fraise.

Cet intérêt pour la mode et le travail du vêtement est lié de près à ses propres textes – et notamment à ces deux récentes pièces, l’une, parue chez P.O.L, Comment on freine, et l’autre, sonore, Tableaux de Weil, (dont un extrait figure également en dernière partie du livre sus-cité, commandée et diffusée, par France Culture.

Pour remue, elle revient sur les spécificités de ces deux pièces, à l’aune de ce contexte de résidence, et nous en offre plusieurs extraits, ainsi recontextualisés :

Comment on freine / Tableaux de Weil, genèse, sources / Violaine Schwartz à propos des deux pièces à l’origine de ce travail en résidence.

Comment on freine, scène 9 / Premier extrait de la pièce publiée en 2016 chez P.O.L
Comment on freine, scène 11 / Second extrait de la pièce publiée en 2016 chez P.O.L
État de Weil, scène 5 / Premier extrait de la pièce radiophonique écrite pour France Culture
État de Weil, "Il est sept heures j’ai quatorze ans" / Deuxième extrait de la pièce radiophonique écrite pour France Culture
État de Weil, "Le tapis des jours tous pareils" / Troisième extrait de de la pièce radiophonique écrite pour France Culture