Jean-René Lassalle | Vers l’arbre métalingue | 1
relativisante dislocation
oeil mental à oreille interne : le
ministère de la solitude subit
réorganisation adaptative en sombrant
décembre les opioïdes empêchés de voir
jours activent ligands de main gélive dans
le souvenir-silence d’une infime
mélodia : hydro-claire eau récuse
de mourir l’hélium compositeur s’hélice
au prisonnier médiatisé lithium ravive
l’ensommeillé par ses dessinements : par feu
circulatoire des ombres la fabrique
du mirage de la ruine d’une famille
disloquerant ses jouets en transe de l’instant
augmenté dans précipités d’actes dont la monstrée
enfilera perspectives sous sa répercussion improprobablement
instrumentalo-dés/intoxicante : l’idée-libellule de se filmer
en fantôme pleurant une volonté dénormée
à apprendre ciel émet saisons hors-corps
parolé qui se retrousse poro-sensible
interdansant vers apaisance : deux crânulets
rasés croisent figures de ficelles entre doigts bridés id
entité-différence se relativise en je u
Un entretien avec Jean-René Lassalle http://bit.ly/2zH7XTx