Anne Kawala | Base acide
7. l’histoire d’un général autour du mot général général qui s’agite en 1190 dans la bouche de Saint-Instin, brave parmi les braves, fidèle et docile, qui exhume generatio et generalis, généralement général et génération en 1190, génération, général, généralement ; c’est en ce sens ; brave général Saint-Instin, qui renifle et met bas : deux petits dégénérés, promettant générales générations de généraux
100. Comment ça va ?
101. Je vais bien.
102. Tu le sais bien.
103. Combien de temps va durer ce jeu ?
104. Tant que G.I le voudra.
105. - C’est...
- Je sais.
106. Mais assieds-toi, qu’on en finisse !
107. Alors... Comment vont les choses ?
108. Les choses vont bien.
109. Tout va bien.
110. Ta vie personnelle ?
111. Ma vie sexuelle va bien.
112. Ma vie sexuelle est de la merde
depuis que je ne te vois plus.
113. Je commence à avoir des cals.
114. Pardon.
115. Où t’en es avec l’alcool ?
116. Pas un verre depuis 3 mois.
117. - De la coke ?
- Non.
118. Je bosse. Je touche plus à rien.
119. J’ai même cessé de fumer.
120. C’est comment ?
121. L’horreur !
122. Dis à G.I que je suis le flic normal, givré...
123. ...et laisse-moi me tirer.
101. Je vais bien.
102. Tu le sais bien.
103. Combien de temps va durer ce jeu ?
104. Tant que G.I le voudra.
105. - C’est...
- Je sais.
106. Mais assieds-toi, qu’on en finisse !
107. Alors... Comment vont les choses ?
108. Les choses vont bien.
109. Tout va bien.
110. Ta vie personnelle ?
111. Ma vie sexuelle va bien.
112. Ma vie sexuelle est de la merde
depuis que je ne te vois plus.
113. Je commence à avoir des cals.
114. Pardon.
115. Où t’en es avec l’alcool ?
116. Pas un verre depuis 3 mois.
117. - De la coke ?
- Non.
118. Je bosse. Je touche plus à rien.
119. J’ai même cessé de fumer.
120. C’est comment ?
121. L’horreur !
122. Dis à G.I que je suis le flic normal, givré...
123. ...et laisse-moi me tirer.
3.
blurry floppy nébuleux
bokeh fondu net
bougé fuzzy obscur
brouillardeux hésitant précis
brouillé imprécis sfocatura
brumeux incertain sibyllin
cinétique indécis soft
clair indecisive ténébreux
confus indéfini timide
confused indéterminable trouble
distinct indéterminé unschärfe
effacé indistinct vague
faint lâche vague
flottant looseness vaporeux
flowing mancha voilé
bokeh fondu net
bougé fuzzy obscur
brouillardeux hésitant précis
brouillé imprécis sfocatura
brumeux incertain sibyllin
cinétique indécis soft
clair indecisive ténébreux
confus indéfini timide
confused indéterminable trouble
distinct indéterminé unschärfe
effacé indistinct vague
faint lâche vague
flottant looseness vaporeux
flowing mancha voilé
4. Du général, le flou guide.
5. « Je n’avais connu que certains des troubles bénins d’un tout autre genre. [Telle] Adèle… » [1]
194. Adèle n’a pas d’alibi.
195. Elle n’a pas non plus de mobile !
196. On irait au casse-pipe.
N’importe quel lecteur est suspect.
197. Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Rien ?
198. Il faut l’interroger.
199. Elle a assez de fric pour nous griller tous.
200. Elle est la dernière à l’avoir vu.
J’en prends la responsabilité.
201. Je vous la laisse.
202. Ça ne donnera rien.
206. Elle ne se cachera derrière personne.
207. Elle ne cachera rien.
208. C’est qu’elle est aussi folle que vous.
209. Vous savez ce qu’on dit ?
210. Y a qu’un fou qui reconnaît un fou.
195. Elle n’a pas non plus de mobile !
196. On irait au casse-pipe.
N’importe quel lecteur est suspect.
197. Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Rien ?
198. Il faut l’interroger.
199. Elle a assez de fric pour nous griller tous.
200. Elle est la dernière à l’avoir vu.
J’en prends la responsabilité.
201. Je vous la laisse.
202. Ça ne donnera rien.
206. Elle ne se cachera derrière personne.
207. Elle ne cachera rien.
208. C’est qu’elle est aussi folle que vous.
209. Vous savez ce qu’on dit ?
210. Y a qu’un fou qui reconnaît un fou.
1. La tête du général repose sur un coussin, coupée de son corps par la lisière des draps. S’achève une longue (et chaude) journée d’été, passée à s’ébattre sur, dans, sous, ces tissus avec celle qui. Son œil erre sur plis, creux, monts et vaux, brisures, à-pics, falaises, plaines, contreforts, plateaux, sommets que forment maintenant laineuse courtepointe rouge et cotonnade blanche, housse d’une lourde couette de duvets d’oies, se recouvrant ici, se dévoilant là. S’y déroule une bataille, le dessin d’un instant, qui d’un geste, étirement ou contraction, se modifie, se redéfinit, progresse au gré de sa séquentielle, photographique et floue -----. Au lieu d’affrontement, au sommet de l’une des montagnes qu’à présent, dans la chaleur de son lit, il contemple de plus haut encore, se déplie le bataille & champs, plis, creux, monts et vaux, brisures, à-pics, falaises, plaines, contreforts, plateaux, sommets, les positions ici limpides, là brouillées. La carte de la contrée du paysage divisé s’étale, se colore, se pique d’informations antagones. Exposant, décrivant avancées, replis, fronts, incursions, conquêtes. Arguments imparables : « Nous ne sommes pas perdants dans l’histoire [2] » est clamé. « NOUS NE SOMMES PAS PERDANTS DANS L’HISTOIRE » « NOUS NE SOMMES PAS PERDANTS DANS L’HISTOIRE » « Nous ne sommes pas perdants dans l’histoire » « Nous ne sommes pas perdants dans l’histoire » Porter, sans hésitation, porter allégeance à quelle cause ? Sensationnelle allégresse de la chaude et longue journée d’été passée dans les draps, les bras, son doigt reproduit la trajectoire d’un boulet de canon qui traverse une plaine, côtoie les nuages, espère l’infini [3]. Suspend son geste. Rétracte sa main. Exact parcours du bolide. Etonnant projectile. « L’antérieur pourrait être l’inopiné souvenir d’un futur ». Un accroc dans la cotonnade blanche. Un petit arc de cercle [4], les dents d’Adèle, qui, et, dans un sens opposé les doigts de sa propre main, tirant à. Léger séisme d’une pleine journée d’un été froid, ouvrant la terre et engloutissant quelques escadrons. Refonte des systèmes offensifs et défensifs, prise en compte de cet élément sans occurrence répétée. Ses yeux sont à la lisière, sur le bord de sa falaise, il reste en bordure. (Se) résoudre (à) une stratégie. Celle à laquelle il se soumet. Traduction : silence et immobilité. Glisse la cotonnade sur la laine, du rouge sur le blanc, du blanc sur le rouge, la couverture sur la couette, mouvements, minuscules victoires, grandes batailles, un affrontement, sous ses yeux, dans le paysage, qu’il ne parvient pas à rejoindre, à décider rejoindre, où il ne parvient pas à se fondre tout à fait, prendre corps dans le corps de. Instin regarde le désir. Bascule. Hanche. Main. Une table est un lit. La table, les cartes, colored pins. Hussard. Ayo. Toï toï toï. Renversement de la situation. Amissionné, l’élan du bras porte. Le regard tendu du général, du haut de la falaise, tendre et triste, éboulé, caresse. Les escouades armées brûlent. L’affrontement a lieu. L’armée le fore, tête baissée dans son plan tactique, vierge d’opératique, le cœur stratégique enflammé pour les espaces, leurs reliefs, leurs flores, leurs langues. (…) La tête d’Instin sur un coussin, paupières closes, regarde. Couette et courtepointe au pied du lit, invisibles. Dans le panorama qui se déploie sont les moments qui suivent. Avec lenteur, se lève et tire - ne prendre froid, en cette fin de chaude nuit d’été. Dépossession de la remémoration, des points focaux, trous noirs ; espaces conjonctifs ; a lieu et repose une douce et lente explosion.
211. Voulez-vous venir au commissariat répondre à quelques questions ?
212. Vous m’arrêtez ?
213. Vous y tenez ?
214. Je peux enfiler quelque chose de plus convenable ? Entrez.
215. Mettez-vous à l’aise.
Je fais vite.
216. Le flic innocenté dans la mort des touristes.
217. La cour conclut à l’accident.
218. Combien de temps ça prendra ?
219. J’en sais rien.
220. Vous gardez tous vos vieux journaux ?
221. Quand il y a quelque chose d’intéressant dessus.
222. Je suis prête.
223. Vous pouvez prendre un avocat.
224. Pourquoi aurais-je besoin d’un avocat ?
225. Vous avez une cigarette ?
226. Je ne fume pas.
227. Si.
228. - J’ai arrêté.
- Félicitations.
229. Je croyais que vous n’en aviez plus.
230. Si, dans ma poche.
Vous en voulez une ?
231. Je vous l’ai dit. J’ai arrêté.
232. Vous recommencerez.
233. Vous écrivez un nouveau roman ?
234. Oui.
235. Ça doit être dingue d’inventer tout ça.
236. Ça apprend à mentir.
237. Comment ça ?
238. Il faut être crédible.
C’est la " suspension d’incrédulité ".
239. Ça me plaît.
La " suspension d’incrédulité ".
240. C’est quoi le sujet ?
241. Un général tombe amoureux de la femme qu’il lui faut pas.
242. Et alors ?
243. Elle le tue.
213. Vous y tenez ?
214. Je peux enfiler quelque chose de plus convenable ? Entrez.
215. Mettez-vous à l’aise.
Je fais vite.
216. Le flic innocenté dans la mort des touristes.
217. La cour conclut à l’accident.
218. Combien de temps ça prendra ?
219. J’en sais rien.
220. Vous gardez tous vos vieux journaux ?
221. Quand il y a quelque chose d’intéressant dessus.
222. Je suis prête.
223. Vous pouvez prendre un avocat.
224. Pourquoi aurais-je besoin d’un avocat ?
225. Vous avez une cigarette ?
226. Je ne fume pas.
227. Si.
228. - J’ai arrêté.
- Félicitations.
229. Je croyais que vous n’en aviez plus.
230. Si, dans ma poche.
Vous en voulez une ?
231. Je vous l’ai dit. J’ai arrêté.
232. Vous recommencerez.
233. Vous écrivez un nouveau roman ?
234. Oui.
235. Ça doit être dingue d’inventer tout ça.
236. Ça apprend à mentir.
237. Comment ça ?
238. Il faut être crédible.
C’est la " suspension d’incrédulité ".
239. Ça me plaît.
La " suspension d’incrédulité ".
240. C’est quoi le sujet ?
241. Un général tombe amoureux de la femme qu’il lui faut pas.
242. Et alors ?
243. Elle le tue.
6. avant c’est bien avant c’est la gêne du savoir
avant c’était dans d’obscures et lointaines contrées
là où encore les loups hurlaient dans les forêts sombres
avouaient jëhanananananan-jëhanhanhan-jëhajëhan
j’ai été enterré par mon frère
jehhjan
le loup mon frère est venu
gehir
torturer en ces contrées obscures le loup son frère
pour lui prendre lui arracher dans les sous-bois de la langue
lui arracher
gehine
torturer le mot qu’il accouche
gêné de, par,
tous ces morts embarrassants desquels il a fallu filtré le jus, savoir, boire
avant c’était dans d’obscures et lointaines contrées
là où encore les loups hurlaient dans les forêts sombres
avouaient jëhanananananan-jëhanhanhan-jëhajëhan
j’ai été enterré par mon frère
jehhjan
le loup mon frère est venu
gehir
torturer en ces contrées obscures le loup son frère
pour lui prendre lui arracher dans les sous-bois de la langue
lui arracher
gehine
torturer le mot qu’il accouche
gêné de, par,
tous ces morts embarrassants desquels il a fallu filtré le jus, savoir, boire
x. L’histoire dit seulement que ça vient de là-haut, que c’est descendu des sous-bois glacés des Alpes, que c’est Instin méritant qui nous l’a ramené, sur son dos, Sans avant sans après, fixé ! Fixed up ! Plus de problèmes ! Plus d’évolutions ! Plus d’évolutions possible au-delà de 1733 : sans attache l’évolution groggy, blurry, crève à quai,
x+1. Le bokeh (se prononce comme, comme un « beau-quai » d’où partir et où arriver, agitant son mouchoir brodé) Le bokeh, soit soyeux ou rugueux, plus complexe qu’un flou gaussien désigne un flou artistique d’arrière-plan permettant de détacher le sujet de son environnement.
9. En photographie ou au cinéma, on nomme flou artistique un effet de flou désiré et maîtrisé. Toutes les méthodes permettant d’obtenir une image floue peuvent être utilisées dans un tel cadre : buée/diffusion/gélatines, flou de bougé, flou de mise au point. Dans certains cas, le flou est utilisé pour noyer certains détails (rides d’un personnage ou boutons sur la peau, par exemple) notamment durant l’âge d’or du Cinéma Hollywoodien, certaines stars devenant trop vieilles, ces dernières mentionnaient dans leur contrat l’utilisation du flou artistique sur les gros plans pour masquer leurs imperfections. D’autres fois il sert à donner une charge mystérieuse à l’image ou bien encore à accentuer un effet de vision subjective ou mystérieuse.
2.
– En général, mon général, j’en conviens, et point ne râle mon général, car c’est amiral, admirale, admirable !, mon général, d’ainsi d’instinct indiquer d’un large geste, et d’un doigt décidé, in extremis, quel nez mon général !, d’indiquer l’indistinct. Cependant ce fou, ce flou !, un point d’impact si flou génère, mon général, le flou génère dans les rangs d’incontrôlables rages… de dents, d’impensables stigmates surgissent, éteintes les faces défaites déstabilisent jusqu’à vos inconditionnels les plus…, moi-même mon général, malgré ma gêne, j’avoue sans peine que ces rageurs gémissements des dents de nos régiments ont ébranlé ma digestion, mon général.
– Du génépi en rasades généreuses guérira tout. Augmentez les rations. De tous, troufions, généraux : même combat.
– Le génépi, mon général, n’y fait plus rien, ni non plus le vin. Votre flou indistinct, génie militaire sui generis s’il en est mon général, s’est imposé dans les inconscients plus sûrement que les informes brunes, brumes d’impénitents enivrements. Subséquemment je suggère mon général, un stratégique et sain repli hors le fol flou insinué dans tous les esprits. Ce répit, mon général, instamment sera sis, ciselé aux frontispices des cerveaux de vos serviteurs. Qu’ils soient stupides ou censés, tous vous sauront gré de votre si manifeste, si magnanime générosité, mon général.
– Poursuivez. Et soyez suffisamment avisé pour ne point sombrer dans un langage sibyllin.
– Votre clairvoyance comme la clarté, mon général, sont désormais les clés de notre succès, Comment s’y pendre, s’y rendre, s’y prendre !, reste cependant la question principale, mon général. Mon conseil serait de rétablir les méta-sémaphores mon général. De si subtils signaux rouge sang dans le silence grinçant de cette obscurité grandissante, mon général, pourraient, symboliquement signifiant, si …. être si propices à signifier mon général, ces signaux signeraient la présence de nos aspirants, la dissidence de nos opposants, l’absence de guérillas intestines, mein General !, …
– N’est-ce point cynisme de votre part de suggérer soumettre l’indisinstinct à de guillerettes guirlandes grenat ? Nous ne sommes pas stationnés ici pour célébrer Christmas, que je sache, Capitaine ! Nous sommes en guerre. Pour assujettir nos adversaires à nos désirs visionnaires, nos escadrons doivent savoir être, quelles que soient les conditions, des cerbères au caractère…
– De fer, oui mon général, je sais. Cependant, le velours des cœurs de vos soldats souffre, et cela est-ce bien satisfaisant, mon général ?
– Renforcez-les aux spinach, décernez quelques décorations smagardines, soyez perspicace, caressez-les dans un sens dissipant leurs incertitudes comme leurs inconstances, insufflez-leur un sentiment de puissance, stimulez leurs désirs d’assauts, assurez-les de leurs forces simiesques en organisant une diffusion de Gorrillaz, que sais-je ? Capitaine, vous êtes censé être responsable de l’intendance de ce genre de détail pour en soulager votre général. Soyez subtilinstincréatif !
– Du génépi en rasades généreuses guérira tout. Augmentez les rations. De tous, troufions, généraux : même combat.
– Le génépi, mon général, n’y fait plus rien, ni non plus le vin. Votre flou indistinct, génie militaire sui generis s’il en est mon général, s’est imposé dans les inconscients plus sûrement que les informes brunes, brumes d’impénitents enivrements. Subséquemment je suggère mon général, un stratégique et sain repli hors le fol flou insinué dans tous les esprits. Ce répit, mon général, instamment sera sis, ciselé aux frontispices des cerveaux de vos serviteurs. Qu’ils soient stupides ou censés, tous vous sauront gré de votre si manifeste, si magnanime générosité, mon général.
– Poursuivez. Et soyez suffisamment avisé pour ne point sombrer dans un langage sibyllin.
– Votre clairvoyance comme la clarté, mon général, sont désormais les clés de notre succès, Comment s’y pendre, s’y rendre, s’y prendre !, reste cependant la question principale, mon général. Mon conseil serait de rétablir les méta-sémaphores mon général. De si subtils signaux rouge sang dans le silence grinçant de cette obscurité grandissante, mon général, pourraient, symboliquement signifiant, si …. être si propices à signifier mon général, ces signaux signeraient la présence de nos aspirants, la dissidence de nos opposants, l’absence de guérillas intestines, mein General !, …
– N’est-ce point cynisme de votre part de suggérer soumettre l’indisinstinct à de guillerettes guirlandes grenat ? Nous ne sommes pas stationnés ici pour célébrer Christmas, que je sache, Capitaine ! Nous sommes en guerre. Pour assujettir nos adversaires à nos désirs visionnaires, nos escadrons doivent savoir être, quelles que soient les conditions, des cerbères au caractère…
– De fer, oui mon général, je sais. Cependant, le velours des cœurs de vos soldats souffre, et cela est-ce bien satisfaisant, mon général ?
– Renforcez-les aux spinach, décernez quelques décorations smagardines, soyez perspicace, caressez-les dans un sens dissipant leurs incertitudes comme leurs inconstances, insufflez-leur un sentiment de puissance, stimulez leurs désirs d’assauts, assurez-les de leurs forces simiesques en organisant une diffusion de Gorrillaz, que sais-je ? Capitaine, vous êtes censé être responsable de l’intendance de ce genre de détail pour en soulager votre général. Soyez subtilinstincréatif !
194. Adèle n’a pas d’alibi.
195. Elle n’a pas non plus de mobile !
195. Elle n’a pas non plus de mobile !
Ce texte a été lu par l’auteure lors de la Prise de la Belleville, juillet 2013. Vous pouvez visualiser l’original en pdf ci-dessous.
19 septembre 2013