Jean-Marie Barnaud : "Comment vivre en poésie?" |
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homme de pensée, homme d'enseignement, poète, homme de mer... Jean-Marie Barnaud dirige avec Jean-Pierre Siméon, aux éditions Cheyne, la collection Grands Fonds : "proses inclassables"
courrier / e-mail pour Jean-Marie Barnaud |
déstabilisation de M. Jourdain / chroniques de Jean-Marie Barnaud |
mars 2004 : Veiller sur le langage, entretien avec Emmanuel Laugier (© Matricule des Anges) nouvelles notes de lecture : sur Jean-Pierre Siméon, sur Yves Ughes, et sur Monticelli / Freixe Quignard,
l'intempestif - note sur "Les Ombres
errantes" de Pascal Quignard Libre
rêverie sur la courbure quatre leçons sur la langue des marins, une conférence le réel est un chemin..., sur Nietzche par Rüdiger Szafranski (mars 2001) retour à Char : oser le contre-courant (avril 2001) la parole de Mandelstam : "témoigner que la poésie est, de toutes nos entreprises, la plus légitime et la plus fondée qui soit" (mai 2001) au marché de la poésie: avant Saint-Sulpice, les 23 et 24 juin 2001 écrire comme marcher: sur Deleuze, du Bouchet et la poésie (sept 2001) carrejaire de vènt, repris de "Etats provisoires du poème", Comédie de Reims, 1999 devant l'inhumain, réponse au texte de Philippe Rahmy : Septembrisades le sosie de Rimbaud, à propos de la biographie de Rimbaud par Jean-Jacques Lefrère (Fayard) - oct 2001 Légèreté de Dominique Sorrente - pour accompagner la parution de "Le petit livre de Qo" chez Cheyne Poète de garde - un journal d'une semaine de poésie aux Langagières de Reims en décembre 2001 |
autres
liens Jean-Marie Barnaud
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La perte est donc la condition première de l'expérience poétique qui passe par cette étape du désemparement de soi, là où l'on se croyait le plus à l'abri: dans les mots coutumiers comme dans une maison, ou encore dans la complicité amicale des livres... J-M. B. |
De la dislocation,
dans sa chronique n° 5, Philippe Rahmy fait écho à
carrejaire de vènt ainsi que |
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