La nuit du carnage, au désespoir, Marta, la fille de Giulana, s’était ruée à la maison, avait ouvert son placard, pris un drap et écrit dessus en grosses lettres : NON À LA MAFIA. Et elle l’avait suspendu dehors à son balcon. Peu de temps après, un autre drap était apparu sur le balcon d’en face.