Eric Pessan | Sur la table de nuit

1/12. Magnifique un tout petit peu avant d’être beauté morte

Portraits de femmes magnifiques, de Christophe Fourvel.

2/12. Tu ne meurs pas de ce que tu es malade, tu meurs de ce que tu es vivant

In memoriam, de Stéphane Audeguy

3/12. Tirer une flèche contre le ciel

Werner Herzog, Conquête de l’inutile.

4/12. Ça commence un jour d’été

Un livre-film de Brigitte Giraud et Fabio Viscogliosi

5/12. Hostilement dressée face àla mer

Villa Bunker, de Sébastien Brebel

6/12. L’humilité doit être une force

1993, roman de Yun Sun Limet

7/12. La violence des rives

Cahier de violence, de Yael Weiss

8/12. Son déficit atteignait 732 dollars

Déséquilibres synthétiques de Lydia Lunch aux éditions du Diable Vauvert

9/12. Sortez de ma tête, Rodrigo

Note sur une inquiétante lecture du Fond du ciel, de Rodrigo Fresán.

10/12. Mon premier fou rire depuis une centaine d’années

Dans la nuit de samedi àdimanche, de Nicole Caligaris

11/12. Bushi no nasake – la tendresse du guerrier

Un watakushi-shôsetsu de Christophe Fourvel

12/12. derrière nos armures en fumée

Une lecture de "Blues pour chevaux verts" de Letitia Ilea

Un sot ne voit pas le même arbre qu’un sage (William Blake)

Sur l’Éloge des arborinidés publié par Julien Nouveau.

Enfin vous admettez que ce n’est pas une série de coïncidences

Sur une lecture du jubilatoire Roman de Bolaño d’Eric Bonnargent et Gilles Marchand.