En guise d’ouverture à cette lettre, les mots du poète Nicolas Pesquès cités dans la recension de Pascal Gibourg : le langage « accomplit le paradoxe du vivant : il entretient le sentiment d’un gain de proximité et il approfondit l’abîme ». Proximité et profondeur : la littérature serait-elle ce langage capable de remuer en nous ces deux sentiments mêlés ?
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