Camille Loivier | Pense-bêtes, mais pas seulement

Pensées qui circulent, qui s’ancrent en soi, se débitent en petites choses, bruissent, se singularisent dans l’écriture, (succintes) qui se rapportent au temps, varient au fil de s saisons,qui durent longtemps et se développement lentement, choses d’extrême-orient rapatriées en extrême-occident.

Camille Loivier
Camille Loivier | Déployer la vague

En se souvenant d’un extrait d’un cours de Gilles Deleuze rejoindre une parabole du Tchouang-tseu

Camille Loivier | Pensez aux enfants qui montent les escaliers

Réflexion sur Coming home de Zhang Yimou, un mélodrame qui cache bien son jeu

Camille Loivier | Il n’y a pas que des heureux hasards

Une réflexion qui part de la rencontre d’un livre et d’une carte à jouer qui lui sert de marque-page

Camille Loivier | Quand en reviendrons-nous à la traduction ?

Des questions de traduction que l’on ne devrait pas se poser mais qui concernent aussi les textes qui ne sont pas traduits.

Camille Loivier | Traduire, encore

Quelques pensées déclinées à partir du mot traduire en mandarin

Camille Loivier | La ballade de Taïwan

Ballade ou balade, invitation à une promenade ou à une chanson pour dire le manque d’un pays qui n’est pas le sien

Camille Loivier | Chang Eileen, l’incomprise

Comment l’écrivaine Chang Eileen, au travers de ses nouvelles, nous invite à penser.

Camille Loivier | La perspective du "toit arraché"

Du roman du Dit du Genji au cinéma en passant par la peinture

Camille Loivier | Ne peut-on aimer autrement ?

Promenade dans un chapitre du Dit du Genji

Camille Loivier | Hommage à Wang Wen-hsing

Hommage à l’écrivain taïwanais Wang Wen-hsing (1939-2023)

Camille Loivier | Faire une retraite dans la poussière et la fumée

Lecture du film Le retour des hirondelles de Li Ruijun et ses variations

Camille Loivier | Torii

De l’oiseau au perchoir en passant par les divinités et la mort

Camille Loivier | Vue d’avion, montagnes et eaux

Montagnes et eaux, c’est le paysage, dans la nature comme dans la peinture, mais en quoi diffère-t-il vu d’avion ?

Camille Loivier | Un jardin en hiver

Commencer par l’hiver, en déduire une cinquième saison puis finir par un himorogi qui dure le temps du texte