Il y a dans toute langue une autre langue à l’infini.

Lieu dit, n°2

...comme si je portais une forêt en feu sur le dos

« Seul contre son âme un homme ne pèse pas lourd », Thierry Metz

Merci pour les graffitis aux murs des villes qui interpellent leurs habitants
Et brillent plus fort que les panneaux publicitaires

"On s’installe ici, pour preuve, cela fait trois jours maintenant que l’on y dort."

Chaque gouache de Marie-Claire Mitout agirait ainsi comme une ruse à l’égard des puissances obscures du temps, de son bras balayeur.

L’ordinaire à l’endroit, l’ordinaire à l’envers

j’apprenais la matière dans cette friction. (vidéo-poème)

Note de lecture sur Le Tricheur de Claude Simon, par Gérard Cartier

Ce que la violence dit du monde, ce qu’on peut en penser et ce qu’on peut en faire

Enrico Testa (Gênes, 1956). Traduit de l’italien par Emanuela Schiano di Pepe.

« Ce que tu as oublié, je peux le recoudre. »

Vous pourriez n’être, rendez-vous compte, que la moitié d’un oiseau mort.

Six poèmes d’un auteur obscur révélé par Christophe Ségas

Correspondance marseillaise

Nuages de pensée XXXVI

Des Haddaoua du Maroc aux Derviches et Qalandars d’Orient

Extrait de "Le Mat & autres broderies" en cours d’écriture.

"Il avait, de la mer, acheté une carte Ne figurant le moindre vestige de terre"

« Un ennui mortel collait à la peau des femmes autour de moi »