Propos sur Chant tacite d’Emmanuel Laugier, suite et fin
Réceptions, interprétations ou réénonciations possibles du livre paru aux éditions Nous, avec les contributions de Anne Malaprade, Nicolas Pesquès, Jean-Patrice Courtois, Pierre Parlant, Alain Mascarou, Georges Didi-Huberman, Alain Freixe, Cédric Le Penven
Réceptions, interprétations ou réénonciations possibles du livre paru aux éditions Nous, dossier en cours sur remue avec les contributions de Yann Miralles, Jean-Marie Barnaud, Michèle Cohen-Halimi, Arno Bertina, Serge Ritman, Audrey Caquel, Dominique Rabaté...
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 4. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
* Public Averti : déclarer le temps zéro_nocturne #11
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, dernier épisode — Il n’empêche que débrancher la machine et la relancer est une technique dont nous avons connu le succès dans nombres de nos manipulations informatiques au fil des années.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, avec Arnaud Genon — Je suis un facebookeur. Je facebooke très régulièrement. S’adonner à la facebookinerie permet de tuer le temps pour – pense-t-on – éviter de mourir d’ennui.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je confesse sans honte que mon premier réflexe, lorsque j’allume mon ordinateur, une fois mes mails vérifiés, est d’ouvrir Facebook. En somme, je suis un traître à ma propre cause.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — À l’écran, il y a une terrasse, on imagine un café, des amis, on entend des paroles et on devine la main qui tient le portable comme on tient tous le nôtre.
Facebook : pilule bleue ou pilule rouge ?_nocturne #7
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Ce que je constate, autour de moi, et à travers les fenêtres du wagon, sur le quai de la gare – et avant cela dans la gare, et dans la chaîne de magasins où je me suis payé un café – c’est combien, derrière nos masques, nous devenons virtuels.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 3. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je n’ai fait que réduire, pour une part très variable suivant les jours, mon usage de Facebook. Et réduire ce n’est que faire moins, jamais autrement ni mieux.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Nous y avions cherché pendant ces deux mois un souffle de vie ; et certains d’entre nous avaient recommencé à mettre le doigt sur les failles de nos existences.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 2. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’impression d’être dans une immense demeure sans lumière et d’avancer avec une lampe de poche, n’éclairant que l’infime parcelle de mon parcours en train de se faire.
Un monde (virtuel)_(Facebook) Dans la ligne de mire_nocturne #3
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’ajout sur Facebook reviendrait donc, pour tenter une comparaison avec la grande distribution, à comptabiliser le nombre d’entrées dans un magasin, sans s’intéresser particulièrement à leurs achats, qu’ils en fassent ou non.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas, en résidence à la Maison de la Poésie de Paris — Poème 1. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Facebook est une illusion, se défaire des réseaux sociaux_nocturne #2
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Cette impression que l’on ressentait l’un et l’autre que quelque chose devait changer, qui ne changeait pas.
Sandra Lucbert — Dans la famille austéritaire, ce mois-ci on demande les grands-parents : l’épisode 3 parle des Sages de la BCE et de la Cour des Comptes.
Une poéthèque, sorte de chant des sirènes à visée thérapeutique, créée par Séverine Daucourt dans le cadre de sa résidence au Cerep Phymentin (hôpital de jour pour adolescents, Paris 14)
Retour à l’exposition Volte-face avec le guide, après une bifurcation : nous voici à nouveau en 1946 avec le photographe André de Dienes et Norma Jeane, qui s’apprête à devenir Marilyn.