petite fille des villes déposée dans un coin
de ferme, de boue
Hortense Gauthier | Poèmes improvisés en marchant | 2
Trois poèmes improvisés en marchant : poème qui grimpe, poème du sommet et poème de l’arrivée.
Toutes les fois qu’elle vient me voir, elle veut me raconter une histoire.
Plier une hirondelle, de Margret Kreidl
Hortense Gauthier | Poèmes improvisés en marchant | 3
Une série de poèmes improvisés en marchant : Poème - France - profonde / Poème bitumé / Poème - soleil - plombé
Sylvain Jamet | Les nostalgiques
Trois poèmes où il est question d’une jambe coupée, du jour perdu et d’une forme muette étendue dans la neige.
Apolline Brechotteau | Sinon le début de l’histoire serait la fin de l’histoire
Le petit mot de James, tracé d’une écriture incorrecte et malhabile. Il était bien là, vivant sous mes doigts. Et ses mots ont trouvé ma mémoire.
Gérard Cartier | L’œil de la mouche
à propos de : Le Dissident secret - Un portrait de Claude Ollier, de Christian Rosset (Hippocampe, 2020)
Christophe Grossi | La ville soûle
Habiter les verbes partir et revenir, en nommant le lieu où tout commence et celui où tout se termine — Un extrait du livre qui vient de paraître chez Publie.net
Lorenzo Foltran | Poèmes
Trois poèmes où l’on retrouve des thématiques chères à l’auteur : l’exil volontaire, l’éloignement du pays natal ; mais aussi le jeu vidéo en tant qu’antithèse de la distance, pouvoirs de la simulation.
Nicolas Struve | Hier soir (Vie bonne)
On trouvera ici des extraits d’un livre plutôt bref. Heureusement, il est écrit comme pourrait le faire ce pêcheur marseillais dont la sardine bouchait l’entrée du vieux port. Cela lui donne du volume.
La poésie en LSF (langue des signes française) est tout entière, histoire, créations, traductions, etc., dans le n°11 de la revue GPS, « Poésies sourdes, Les enjeux des traductions en LSF »
Géraldine Geay | Nouages
Passage de poèmes chronologiques pris dans le temps variable et résistant à l’attelage, fermés ou s’assouplissant, roulant vers la suite. Écrits sur téléphone ou sur carnet. On peut observer des raccords.
"J’ai le droit de parler" | Pascal Gibourg
Mâcher un énoncé, le remâcher, le comprendre, le mécomprendre, le libérer.
Thomas Pietrois-Chabassier | L’invention de la danse
Il était toutes les heures du jour et de la nuit, du monde et de sa suite, les corps se diluaient dans les rêves que nous finissions par devenir les uns pour les autres.
Jamais engagé, toujours promis : l’amour décomposé de Persée pour Andromède
Andrea Inglese trouve dans le tableau "Persée délivrant Andromède" de Piero Cosimo une image pour soutenir son examen de la genèse, de la vie et de la déréliction d’un amour qui l’aura conduit au bord de l’abîme.
Hortense Gauthier | Poèmes improvisés en marchant | 1
Deux enregistrements de poèmes improvisés en marchant : poème de montée/poème de descente.
Fabien Neyrat | Retour au bord de la mer
Un écrivain oisif décide de revenir dans son village natal en bord de mer, quitté depuis longtemps. Il ne saisit pas clairement l’origine de cette décision. La maison voisine abrite un peintre, Alberto.
Christophe Ségas | Trois poèmes
Survivre à l’instant. Autoportraits à la deuxième personne.
Gérard Cartier | Un livre infini
La machine de Balpe
Etienne Faure | Cinq traversées à pied
Quelques poèmes à pied pour aller par les rues via la ville à son tour traversée d’inextricables vies, nostalgies humaines, à marcher, dériver, recourir au fil conducteur de l’errance, et se mettre en mouvement pour de vrai, à la verticale...
Laurent Herrou | Chronique de la violence ordinaire
Un accrochage sur une route de campagne entre deux véhicules. L’auteur est au volant, la violence, autour de lui — et en lui.
Suzanne Doppelt | Meta donna
"Meta donna", de Suzanne Doppelt, une variation sur la tarentelle, par Cécile Dutheil de la Rochère
Patricia Cros | Notes prises près d’un mur à la campagne
Le regard fouisseur d’espace
là où justement il n’y en a pas
à moins que
l’ouverture des brèches
par pulsion occulaire
Antoine Bertot | Poèmes
Des poèmes écrits en compagnie de photographies, afin de poursuivre le regard et de l’étendre à la main.
Myriam Oh | J’ARRIVE (tu peux mettre la table)
Le poème est promesse. Action. Il arrive. Il est là. Il va l’être. Il te parle déjà. L’entends-tu ?
Déambulation dans la cathédrale de Rodez ; une vague réminiscence du mythe d’Orphée ; l’outrenoir de Pierre Soulages dont le musée se situe non loin de cette cathédrale avec le Café Broussy.
Le livre de Frédéric Valabrègue paru à l’automne dernier raconte un Marseille complexe, démoli par la spéculation immobilière et l’impéritie politique.
Par Claudine Galea