Actualité des auteurs en résidence Île-de-France sur remue.net | 1

Chers amis,
Cette lettre a pour objet de vous informer des activités et créations des auteurs en résidence Île-de-France, que nous relayons sur remue.net.
Voir aussi l’agenda des événements à venir à la même adresse.
Cette lettre est inaugurale, et les auteurs en résidence sont nombreux, d’où son aspect « anthologique ».
Pour remue.net, Guénaël Boutouillet & Patrick Chatelier
Géraldine Alibeu à la Communauté de Communes Moret Seine et Loing nous tient son journal de résidence, textes et et de ci de là, de jolies images.
Mario Batista à Mains d’œuvres (Saint-Ouen) visite des classes de collège et ne cache rien des « problèmes » que cela lui pose.
Xavier Bazot au musée de la Résistance nationale (Champigny/Marne) a réalisé une série d’entretiens avec Kiem Pham Van, soldat « indigène » durant la Seconde Guerre mondiale, travail audio en six parties mises en ligne.
Philippe Beck aux Écoles municipales artistiques de Vitry-sur-Seine a proposé deux cartes blanches à Françoise Lebrun, et ouvert sa résidence avec un texte inédit intitulé Carte blanche, lianes, commencement.
Jocelyn Bonnerave à la Bibliothèque du Muséum National d’Histoire Naturelle (Paris V) en janvier et février 2011, y a tenu un journal de résidence et livre un extrait de son travail en cours, intitulé Bouquetin.
Nadine Brun-Cosme à l’Institut international Charles-Perrault (Eaubonne) propose quelques notes d’atelier.
Laurent Contamin termine le 27 mai sa résidence au collège Jacques-Monod (Beaumont/Oise) avec la lecture de son projet d’écriture Voix d’eau. Il a développé sur remue quatre rubriques : « résurgences » (écrits suscités au cours de la résidence), « canaux » (textes écrits au collège), « regards » (journal de résidence), « citernes » (ressources). Dernière parution : Questionnaire Bachelard.
Amina Danton à la médiathèque de Gentilly interroge la question du "transport" à travers la lecture, et les expériences vécues par les Gentilléens en transports en commun. Elle a recueilli des témoignages, comme celui d’Astrid, des images de Béatrice Lucchese, et ses propres impressions, comme celle-ci.
Jérôme Game introduit une série de rencontres au MAC/VAL (Vitry-sur-Seine) entre performance et théorie.
Andrea Inglese à l’association Emilia Romagna (Saint-Denis) développe la série photographique et poétique Asphaltes qui compte avec l’introduction déjà dix épisodes. Dernier paru : « Les aventures (par strophes doubles). »
Carine Lacroix à La Mie de Pain (Paris XIII) y tient journal de ses ateliers d’écriture, tout en travaillant à l’écriture d’une nouvelle pièce de théâtre.
Adeline Olivier au Studio-Théâtre (Vitry-sur-Seine), tout en créant sa pièce Ok nous y sommes rassemble des matériaux vidéo pour l’écriture de son roman Mouvements.
Emmanuelle Pireyre au théâtre du Fil de l’Eau (Pantin), avec la compagnie du dernier soir, dirigée par Myriam Marzouki, organise des sessions d’université pop, tout en travaillant des textes destinés à la scène.
Guillermo Pisani termine sa résidence à Passage d’encres (Romainville) avec la lecture de sa pièce Mexico et la publication de Romainville : la ville imaginaire. Dernière parution, travail en atelier d’écriture.
Cécile Portier au lycée Henri-Wallon (Aubervilliers) y anime des ateliers d’écriture confrontant les individus aux données les concernant. En sus du site Traque Traces, projet d’écriture en écho des ces interventions, elle tient son journal de résidences, réflexions et contrepoints, sur remue.net, comme la dernière en date, intitulée Faire société.
Emmanuel Rabu accueilli par le réseau de librairies Librest (Paris XX) invite des artistes qui nourrissent son œuvre – comme Eugene Robinson, du groupe Oxbow et travaille à l’écriture d’un livre de listes.
Marianne Rubinstein expose dans son journal de résidence des traces de son atelier en collège ainsi que les rencontres qu’elle organise à la librairie l’Atelier (Paris XX) notamment avec la sociologue Nicole Lapierre dont on peut voir la captation vidéo.
Camille de Toledo décline quelques pièces vidéo de son installation Hantologie-S à la Ménagerie de Verre (Paris XI). Dernière parution : THE ONLY THING THAT IS NOT EXACTLY MOVING - LA SEULE CHOSE QUI NE SOIT PAS EXACTEMENT MOBILE.
Pierre Senges réside à l’Institut national de l’audiovisuel (Paris XIII). Il y tient récit, à sa digressante façon, de ce séjour, recueille des contributions sur le thème des archives, comme celle de Cécile Portier – en attendant et espérant la vôtre ! Et Pierre Senges ajoute à ces interventions multiples, d’astucieux interludes.
Gwenaëlle Stubbe à la BIPVAL (Ivry-sur-Seine) a rencontré des élèves de lycée, elle le raconte dans ce texte.
Carole Thibaut à L’Étoile du Nord (Paris XVIII). Elle y crée un texte et un spectacle intitulés Les Petites empêchées.
Cécile Wajsbrot propose à la Maison de la culture yiddish (Paris X) un programme de rencontres filmées intitulé Écrire la catastrophe : témoignage et fiction d’avril à novembre 2011 : le 6 avril Cécile Wajsbrot inaugurait le cycle avec la lecture de Vésuve et un échange avec Gilles Rozier, suivie de Hélène Cixous puis de Laurent Binet (vidéo bientôt en ligne).