Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 29 à 31 final : Les morts ne dorment pas la nuit — Le soin de l’écriture — On se retrouvera
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 25 à 28 : Fiction du passé — À quoi sert l’écriture — Là où je suis — Écrire en rêve
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 21 à 24 : Dans la forêt des signes — Les sources de la connaissance — L’imaginaire à l’œuvre — Présence absente
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 17 à 20 : Ce que font les histoires — Préserver l’espérance — La vérité du passé — L’ordre du monde
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 13 à 16 : Entrée en littérature — Une belle page de terre — Le jardin des écrivains — Le pays de l’autrefois
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 9 à 12 : Mystères et secrets — Suivre le terrain — La cuisine de l’écriture — Dans les secrets enfouis
"Dévoration", une série de Maud Thiria - Explorer la dévoration au niveau de la falaise pour mieux comprendre ce qui fait écho dans nos dévorations intérieures.
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 5 à 8 : La source des histoires — La mémoire matérielle — Les mots se souviennent — L’écriture du vivant
Quand la littérature rencontre l’archéologie, Isabelle Jarry / Laurent Olivier, épisodes 1 à 4 : La rencontre — Un beau chantier — Passé et mémoire — Les mains dans la terre
"Dévoration", une nouvelle série de Maud Thiria — Explorer la dévoration au niveau cellulaire pour tenter de mieux comprendre certains phénomènes naturels d’instinct de vie.
Les aventures de Rosa Bonheur au pays des bêtes ou la petite fille aux pinceaux (4)
par Irène Jonas au château Rosa Bonheur (Thomery) — Ce pourrait être un conte qui se conclut par « elle vécut heureuse et peignit beaucoup de tableaux », et qui aurait fait rêver les petites filles du XIXe siècle à une autre destinée
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 10. Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres en compagnie de Daniel Deshays, preneur de son, créateur du sonore au théâtre et au cinéma et essayiste.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 9. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Abécéd’Autres - S de Soin avec Géraldine Delcambre
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 8. Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres et c’est le S de Soin en compagnie de la psychiatre Géraldine Delcambre
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 7. Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres et c’est le I d’Instinct en compagnie de la danseuse Léa Salomon, sous la forme d’un poème entretien
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 6. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 5. Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres et c’est le E d’Exil en compagnie du réalisateur Anis Djaad, sous la forme d’un poème entretien. L’invité choisit lui-même son mot.
Propos sur Chant tacite d’Emmanuel Laugier, suite et fin
Réceptions, interprétations ou réénonciations possibles du livre paru aux éditions Nous, avec les contributions de Anne Malaprade, Nicolas Pesquès, Jean-Patrice Courtois, Pierre Parlant, Alain Mascarou, Georges Didi-Huberman, Alain Freixe, Cédric Le Penven
Réceptions, interprétations ou réénonciations possibles du livre paru aux éditions Nous, dossier en cours sur remue avec les contributions de Yann Miralles, Jean-Marie Barnaud, Michèle Cohen-Halimi, Arno Bertina, Serge Ritman, Audrey Caquel, Dominique Rabaté...
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 4. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
* Public Averti : déclarer le temps zéro_nocturne #11
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, dernier épisode — Il n’empêche que débrancher la machine et la relancer est une technique dont nous avons connu le succès dans nombres de nos manipulations informatiques au fil des années.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou, avec Arnaud Genon — Je suis un facebookeur. Je facebooke très régulièrement. S’adonner à la facebookinerie permet de tuer le temps pour – pense-t-on – éviter de mourir d’ennui.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je confesse sans honte que mon premier réflexe, lorsque j’allume mon ordinateur, une fois mes mails vérifiés, est d’ouvrir Facebook. En somme, je suis un traître à ma propre cause.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — À l’écran, il y a une terrasse, on imagine un café, des amis, on entend des paroles et on devine la main qui tient le portable comme on tient tous le nôtre.
Facebook : pilule bleue ou pilule rouge ?_nocturne #7
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Ce que je constate, autour de moi, et à travers les fenêtres du wagon, sur le quai de la gare – et avant cela dans la gare, et dans la chaîne de magasins où je me suis payé un café – c’est combien, derrière nos masques, nous devenons virtuels.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 3. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Je n’ai fait que réduire, pour une part très variable suivant les jours, mon usage de Facebook. Et réduire ce n’est que faire moins, jamais autrement ni mieux.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Nous y avions cherché pendant ces deux mois un souffle de vie ; et certains d’entre nous avaient recommencé à mettre le doigt sur les failles de nos existences.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 2. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’impression d’être dans une immense demeure sans lumière et d’avancer avec une lampe de poche, n’éclairant que l’infime parcelle de mon parcours en train de se faire.
Un monde (virtuel)_(Facebook) Dans la ligne de mire_nocturne #3
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — L’ajout sur Facebook reviendrait donc, pour tenter une comparaison avec la grande distribution, à comptabiliser le nombre d’entrées dans un magasin, sans s’intéresser particulièrement à leurs achats, qu’ils en fassent ou non.
Une chronique sonore d’Anne Mulpas — Poème 1. Une lettre > un mot et le voyage commence, l’imaginaire se déplie, combine intime, social et politique, récit vrai et fictif, le quotidien et l’utopie au creux du poétique.
Facebook est une illusion, se défaire des réseaux sociaux_nocturne #2
Une série de Pauline Sauveur & Laurent Herrou — Cette impression que l’on ressentait l’un et l’autre que quelque chose devait changer, qui ne changeait pas.
Sandra Lucbert — Dans la famille austéritaire, ce mois-ci on demande les grands-parents : l’épisode 3 parle des Sages de la BCE et de la Cour des Comptes.
Une poéthèque, sorte de chant des sirènes à visée thérapeutique, créée par Séverine Daucourt dans le cadre de sa résidence au Cerep Phymentin (hôpital de jour pour adolescents, Paris 14)
Retour à l’exposition Volte-face avec le guide, après une bifurcation : nous voici à nouveau en 1946 avec le photographe André de Dienes et Norma Jeane, qui s’apprête à devenir Marilyn.