Asphaltes
Depuis 2007, je prends en photo ce qu’il y a à mes pieds : surtout à Paris, mais aussi dans d’autres villes. Ce sont des restes, ce qui ne rentre pas dans l’histoire, ni dans les narrations (romans, autobiographies, reportages). Ce sont aussi des petites installations pour les écrans numériques, avec des restes langagiers (bandes de mots coupées, anonymes). Andrea Inglese.