Mon assent l’est tranzer
Mon assent le l’est tranzer. Quoi qu’ch dis toussour mon assent y dis l’coutraire de moi. L’est tranzer c’est soûr. Mon assent l’est pas le fronçais, c’est soûr, l’est toussour tranzer de moi. Loin « terre-de-moi ». Pas le « moi-terre », le loin. Mais quoi quoi c’est que ch’dis moi, c’est pas mon assent qui le dit. C’est le « moi-terre ». Mon assent y dit le tranzer de toi et moi, le « loin-terre » de toi et moi.
Le « lui-mot » c’est toussour le « loin-terre ». C’est zamais le « moi-mot » ou le « toi-terre », le « moi-toi-terre », le « toi-mot », c’est le tranzer de toi et moi, c’est le « lui ». Lui le mon assent l’est pas vraiment moi c’est soûr. C’est le tranzer de le fronçais coum toi et le tranzer de moi. Si pourquoi quoi qu’ch dis toussour y dis l’coutraire de le vrai. Le vrai de toi et moi c’est le mot, c’est soûr, c’est pas le mon assent qui le dit.
Mais coum le lui mot c’est toussour le « loin-terre », ze reste tranzer pour toi.